-16 février- SAINT GRÉGOIRE X, PAPE ( XIIIe SIÈCLE ).

16 février –

SAINT GRÉGOIRE X, PAPE ( XIIIe SIÈCLE ).

Ce Saint naquit à Plaisance, d’une famille illustre, et reçut au baptême le nom de Thibault.

Dès sa jeunesse, il fit paraître une vertu au dessus de son âge ; il fit ses études à Paris, et devint archidiacre de Liège.

Le Souverain-Pontife le chargea de prêcher une croisade pour la délivrance de la Terre-Sainte : mission d’autant plus difficile que les princes étaient alors plus divisés entre eux.

Il alla lui-même visiter la Palestine, que la mort de saint Louis, arrivée en 1270, avait jetée dans un profond découragement.

Il désirait tout à la fois consoler les chrétiens de cette contrée et vénérer les lieux consacrés par Notre-Seigneur et par les plus augustes mystères de notre religion.

Ce fut en Terre-Sainte qu’il apprit son élection à la papauté, en remplacement de Clément IV, le 1^er septembre 1271.

Il partit pour Rome à cette nouvelle, prit possession du siège apostolique le 27 mars 1272, et le nom de Grégoire X.

Deux ans après, il ouvrait à Lyon un Concile général, auquel assistèrent cinq cents évêques et soixante-dix abbés.

C’est dans ce Concile, à la quatrième session, que les députés de l’empereur Michel Paléologue abjurèrent publiquement le schisme qui séparait l’Église d’Orient de celle d’Occident, schisme provoqué par Photius  en 862, et consommé par Cérularius en 1053 ( I ).

( I ) Ce fut surtout au sujet de la Procession du Saint-Esprit qu’eut lieu ce schisme.

Ce Concile fut le second Concile général de Lyon.

Au milieu des travaux et des affaires dont il supporta le poids, ce saint Pontife ne laissa pas que d’être continuellement uni à DIEU. Il mena une vie dure et austère ; épuisé de fatigue, il mourut en 1276, à Arezzo, après quatre ans de règne.

PRATIQUES. — Il y a peu d’âmes qui sachent allier le recueillement et les affaires. C’est par l’habitude de la présence de DIEU que nous y parviendrons. Il faut savoir aussi se soustraire aux affaires pour prier et se nourrir de la parole de DIEU. N’espérons jamais posséder nos âmes sans ces sages précautions.

PRIÈRE. — Seigneur, vous savez avec quelle facilité nous nous laissons distraire de votre Divine présence. Pénétrez-nous de la pensée de vos grandeurs et de la nécessité d’agir et de travailler en union avec vous, pour que notre temps et notre peine ne soient pas perdus pour l’éternité.

A.I.

J’ai lu aujourd’hui ( Maria nº 1789 p. 27 ) « Conclave ( do latim cum clave,  que significa com chave ) é a reunião, em clausura, muito rigorosa para eleição do Papa, em que os cardeais permanecem incomunicáveis – na Capela Sistina - até ser escolhido o novo Sumo Pontífice. Foi o Papa Gregório X que usou pela primeira vez a palavra, em 1274, e instituiu a base dos atuais conclaves. Traduction: Conclave ( du latin cum clave, qui signifie Avec clef  ) c’est la réunion en claustration très rigoureuse,  pour l’élection du Pape, dans laquelle les cardinaux demeurent  incommunicables – dans la Chapelle Sixtine – jusqu’à ce que le nouveau Pape soit choisi. C’est le pape Grégoire X qui utilisa ce mot pour la première fois, en 1274, et institua la base des conclaves actuels.  Texte Carla Silva Santos. Remarque : il me semble que ce n’est plus dans la Chapelle Sixtine : vérifier. Yannick)

Remarque d’Un Catholique Traditionaliste Survivantiste ( voir Wikipedia, ce que ces mots veulent dire ) :

Et maintenant, essayons de comprendre un peu ce qui se passe aujourd’hui 16 février, fête de Saint Grégoire X, vrai Pape, lui, en faisant le plus court possible.

 Les forces du mal ont pris possession totalement de l’Église en 1972.

Les forces du mal: les chefs Communistes, Francs-maçons, NouvelOrdreMondial.

Le diable ( détaché de l’enfer depuis 1864, lire La Salette dans ce Blog ) les a tous inspirés dans la même idée. Ils sont entrés dans les séminaires, sont devenus prêtres, mais non appelés par DIEU – ce qui leur coûtera leur éternité s’ils ne se repentent à temps-, sont devenus curés, puis évêques, enfin les ‘meilleurs’ ( dans le mal ) cardinaux. Ils ont fini par encercler Paul VI et finalement par le dominer totalement, notamment par du poison qu’ils mettaient dans son vin.

Paul VI ne signant pas certains documents qu’ils voulaient qu'il signe, contraires à la foi, et ne satisfaisant pas dans ses manifestations publiques, ils- le trio infernal Villot, Casaroli et Bénelli - ont eu l’idée de mettre à sa place un sosie. Ce sosie  nomma 111 cardinaux de son bord. À la mort du sosie, le trio infernal cacha Paul VI.  Seulement un faux pape, mais ayant toutes les apparences de la légalité, pouvait sortir de ce conclave frauduleux où le Saint Esprit mis en minorité ne pouvait plus choisir un digne successeur de Saint Pierre.  Ce fut Jean Paul I, qui ne marcha pas dans la combine quand le trio infernal lui fit part de la survie du vrai Paul VI. Ils l’éliminèrent puisqu’il ne voulut pas faire leurs œuvres mauvaises ( il fut sous un certain aspect martyr ). Et ce fut le deuxième conclave, d’où sortit  Jean Paul II, tout à fait d’accord avec le trio infernal,  d’autant plus qu’il les a tous trompés, étant communiste et les trois autres francs-maçons ( en terme léger on dirait qu’il les a roulés dans la farine ).

 Jean Paul II mort,  après le travail que l’on a vu ( pour qui a la vrai foi ) de destruction systématique de l’Église, eut lieu le conclave d’où sortit Benoît XVI. Trois conclaves, et pendant ce temps le vrai Pape toujours vivant prisonnier des mauvais occupant l'Église.

Vient un quatrième conclave, avec Paul VI caché de force toujours vivant.

Qui sortira de ce Conclave ne peut pas être appelé Pape pour plusieurs raisons : il ne peut pas être choisi par le Saint-Esprit mis en totale minorité depuis les nominations des ‘cardinaux’ par le sosie ; et ... Paul VI vit toujours et c’est lui le Pape.

Si ce que je vous dis, plus ou moins bien, vous paraît bizarre, cherchez et vous trouverez. Enfin, l’ange de ce jour est l’ange de la patience. Armez-vous de patience.  Bientôt, un bientôt de DIEU, Paul VI qui  vit toujours réapparaîtra.

Rien, absolument rien, n’est recevable de tout ce qui sort de Rome depuis 1972. Il faut avoir perdu la foi pour dire le contraire. Et c’est grave, car il y va de notre éternité, ou le Ciel, ou l’Enfer,  avec la peine de la souffrance physique ( des sens ) éternelle, et la privation de DIEU, éternelle.
Saint Grégoire X, priez DIEU pour nous, s'il vous plait, que DIEU nous éclaire toujours plus sur la crise actuelle de l'Église ( l'Église aura une crise affreuse - La Salette - ) et priez pour Paul VI, merci.