Thursday 20 June 2013

18 juin – SAINT ÉPHREM


18 juin –
SAINT ÉPHREM
(M.R.C.E.R. imprimatur 1943 )
Saint Éphrem de Syrie, Diacre, Confesseur er Docteur de l’Église.
Double —( Ornements blancs ).
Champion infatigable de la foi contre tous les hérétiques, et particulèrement les Ariens, le diacre Éphrem est, par excellence, le théologien de l’Église Syrienne. Il mourut en 379.
Messe :  In médio Ecclesiæ, excepté Collecte propre.
Mémoire des saints Marc et Marcellien, par les oraisons suivantes :
Oratio.
Secreta.
Postcommunio.
( M.Q.E.V. imprimatur 1961 )
SAINT ÉPHREM
Diacre, confesseur et docteur
Fête de troisième classe — Blanc
Diacre d’Édesse, saint Éphrem est le grand classique de l’Église syriaque. Il combattit avec vigueur toutes les hérésies de son temps, et composa, pour les mieux combattre, des poésies et des hymnes chrétiennes, où il chanta les mystères du Christ, de la Sainte Vierge et des Saints ; on l’appelle « la cithare du Saint-Esprit ». Il eut toujours une très grande dévotion envers la Vierge Marie. Exégète et prédicateur en même temps que poète, il a laissé en syriaque une oeuvre importante qui fut traduite en d’autres langues orientales ainsi qu’en grec et en latin. Saint Éphrem mourut en 373. Benoît XV l’a proclamé docteur de l’Église en 1930.
Messe In medio, avec Collecte propre
Aux messes basses, mémoire des saints Marc et Marcellien par les oraisons propres.
SAINT MARC ET SAINT MARCELLIEN
Martyrs — Rouge
Marc et Marcellien sont deux martyrs romains. Leurs corps, inhumés d’abord au cimetière de sainte Balbine sur la voie Ardéantine, ont été transportés dans la basilique des Saints-Côme-et-Damien, au forum.

18 juin – SAINTS MARC ET MARCELLIEN, MARTYRS À ROME. ( IIIe Siècle ).


18 juin –
SAINTS MARC ET MARCELLIEN,
MARTYRS À ROME. ( IIIe Siècle ).
Marc et Marcellien étaient frères et issus d’une des premières familles de Rome. Ils furent convertis à la foi dès leur jeunesse, s’engagèrent l’un et l’autre dans le mariage, et vécurent d’une manière fort honorable, selon le monde. Ils furent arrêtés comme chrétiens sous le règne de Dioclétien, conduits en prison et condamnés par Chromace, lieutenant du préfet de Rome, à être décapités.
Ceux qui les aimaient selon la chair ne désespérèrent pas de faire révoquer la sentence; ils obtinrent un délai de trente jours, se flattant de les déterminer à se conformer au désir du juge. On transféra les deux saints dans la maison de Nicostrate, premier greffier de la préfecture. Tranquillin, leur père, Marcie, leur mère, leurs femmes et leurs enfants en bas âge vinrent les y trouver et tâchèrent de les vaincre par tout ce que les prières et les larmes ont de plus séduisant. Saint Sébastien, officier de la maison de l’empereur, arrivé depuis peu à Rome, les visitait tous les jours pour les exhorter à être inébranlables. Toutes ces conférences se terminèrent par la conversion de Tranquillin et de Marcie, et des femmes des deux saints. Nicostrate abjura aussi le paganisme et fut imité par Chromace, qui mit les confesseurs en liberté et se retira à la campagne, après avoir quitté sa charge.
Un officier chrétien, nommé Castule, cacha Marc et Marcellien dans l’appartement qu’il avait au palais de l’empereur; mais ils furent trahis par Torquat, qui avait lâchement apostasié; on se ressaisit donc de leurs personnes. Fabien, qui avait succédé à Chromace, les condamna à être liés à un poteau et à y être attachés par les pieds avec des clous. Ils restèrent en cet état un jour et une nuit, et le lendemain ils furent percés à coups de lance. Leur fête est marquée en ce jour par tous les anciens martyrologes.
PRATIQUES. — La persécution et la souffrance sont comme la pierre de touche avec laquelle on distingue la vraie vertu. Comment les supportons-nous ?
PRIÈRE. — Ô DIEU anéanti, ô Jésus couvert de plaies pour l’amour de nous, Jésus, roi des martyrs, faites-nous aimer les souffrances ; que nous endurions tous les tourments plutôt que de vous offenser jamais.
A.I.
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Le sens des mots
pierre de touche :
Variété de jaspe noir qui sert à éprouver ( toucher ) l’or et l’argent ; au figuré, ce qui sert à connaître la valeur de quelqu’un ou de quelque chose. ( Larousse ).
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~

Mardi 18 juin 2013 - ORDO LITURGIQUE


ORDO LITURGIQUE
( Cet Ordo se base sur le Code des Rubriques promulgué le 25 juillet 1960. )
Année :  2013
Mois : juin
Le mois de juin est consacré au Sacré-Cœur de Jésus. Il est recommandé de faire des Exercices en son honneur (litanies, cantiques) en paroisse, dans les communautés et en famille.
Semaine entre le Quatrième Dimanche après la Pentecôte
et le Cinquième Dimanche après la Pentecôte.
Jour : mardi 18 juin 2013
Fête : Saint Éphrem de Syrie, diacre, confesseur et docteur.
Couleur : blanc.
Classe : 3ème classe.
Épître : 2_Tm IV, 1-8.
Évangile : Mt V, 13-19.

– 18 juin – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


– 18 juin – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.
« Saint Ange du jour,
Saint ASSIM, III ( Trônes ),  Sagesse de la planification,
donnez-nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.
Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.
Par Jésus-Christ, notre Seigneur.
Ainsi soit-il »

Méditation du jour mardi 18 juin 2013


Méditation du jour mardi 18 juin 2013
Si quelqu’un croit avoir de la religion alors qu’il ne réfrène pas sa langue, il s’abuse lui-même : sa religion est vaine.
Jc I, 26.

MESSE ‘STATUIT’ COMMUN DES CONFESSEURS PONTIFES


MESSE ‘STATUIT’
COMMUN DES CONFESSEURS PONTIFES
Ire Messe d’un Confesseur Pontife
Introït. ( Eccli. XLV, 30 )
STÁTUIT et Dóminus  testaméntum pacis, et príncipem fecit eum; ut sit illi sacerdótii dígnitas in ætérnum. ( T.P. Allelúja, allelúja ).
(Ps. CXXXI, 1) Meménto, Dómine, David: et omnis mansuetúdinis ejus.
V/. Glória Patri.
Introït. —Le Seigneur a fait avec lui une alliance de paix et l’a établi prince, afin que la dignité du sacerdoce le revêtit éternellement. ( T.P. Alléluia, alléluia ).
Ps. Souvenez-vous, Seigneur, de David, et de sa pieuse soumission.
V/. Gloire au Père.
GLORIA.
Oratio.
   Da, quæsumus, omnípotens DEUS : ut beáti N. Confessóris tui atque Pontíficis veneránda solémnitas, et devotiónem nobis áugeat, et salútem. Per Dóminum.

Collecte. Faites, nous vous en prions, DIEU tout-puissant, que la vénérable solennité du bienheureux N., votre Confesseur et Pontife, augmente en nous la piété et le désir du salut. Par N.-S. J.-C.

Épître : Livre de la Sagesse, Eccli. XLIV, 16-27 ; XLV, 3-20.
ECCE sacérdos magnus, qui in diébus suis plácuit Deo, et inveéntus est justus : et in tempore iracúndiæ factus est reconciliátio. Non est invéntus símilis illi, qui conservávit legem Excelsi. Ideo jurejurándo fecit illum Dominus créscere in plebem suam. Benedictiónem ómnium géntium dedit illi, et testaméntum suum confirmávit super caput ejus. Agnóvit eum in benedictiónibus suis: conservávit  illi misericórdiam suam: et invénit grátiam  coram óculis Dómini. Magnificávit eum in conspéctu regum: et dedit illi corónam glóriæ. Státuit illi testaméntum ætérnum, et dedit illi sacerdótium magnum : et beatificávit illum in glória. Fungi sacerdótio, et habére laudem  in nómine ipsíus, et offérre  ílli incénsum dignum in odórem suavitátis.
Voici le grand pontife, qui durant sa vie fut agréable au Seigneur, fut trouvé juste, et a été au temps de la colère, la réconciliation des hommes. Nul n’a été trouvé semblable à lui pour observer la loi du Très-Haut. C’est pourquoi le Seigneur a juré de le glorifier devant son peuple. Il lui a promis de bénir en lui toutes les nations, et il a confirmé son alliance avec lui. Il l’a distingué par ses bénédictions et lui a conservé sa miséricorde. Il a trouvé grâce aux yeux du Seigneur qui l’a glorifié en présence des rois, et lui a donné une couronne de gloire. Il a conclu avec lui une alliance éternelle, lui a donné la plénitude du sacerdoce, et l’a rendu heureux dans la gloire. Il l’a choisi pour les fonctions du sacerdoce et pour offrir des sacrifices de louange à son nom, et pour lui présenter dignement un sacrifice d’agréable odeur.

17 juin – Saint GRÉGOIRE BARBARIGO Évêque et confesseur


( M.Q.E.V. imprimatur 1961)
17 juin –
Saint GRÉGOIRE BARBARIGO
Évêque et confesseur
Fête de troisième classe – blanc.
Grégoire Barbarigo naquit à Venise le 16 septembre 1625. Son père, qui voulait l’initier aux affaires de l’État, l’adjoignit à la légation vénitienne qui allait traiter à Münster de la paix de Westphalie. C’est là que la Providence l’attendait, en la personne du légat pontifical Fabio Chigi, qui le prit en amitié et le guida dans les voies du Seigneur. Aussi, rentré à Venise et tourmenté par la soif de se donner à DIEU, alla-t-il se confier à son conseiller, qui le dirigea vers le sacerdoce. Peu après, en 1657, le pape Alexandre VII le consacrait évêque de Bergame; trois ans plus tard, il le créait cardinal, puis le transférait, en 1664, au siège de Padoue.
Comme à Bergame, le saint évêque se montra le modèle des pasteurs, animé d’un zèle vigilant et d’initiatives hardies. Il accordait un soin  tout particulier à la réforme tridentine des séminaires, veillant à la solidité des études cléricales autant qu’à la sainteté de vie des futurs prêtres. Précurseur en maints domaines, il associait les laïcs à la catéchèse populaire, et ses aspirations œcuméniques se manifestaient à la fois  dans la fondation d’une chaire de langues orientales et dans l’érection d’une imprimerie munie de tous les caractères nécessaires à l’édition de ces textes. Infatigable, il parcourait son diocèse en tous sens, multipliant  les visites pastorales, par tous les temps et souvent à pied, prêchant, redressant, encourageant, consolant; père de son peuple, il était envers les pauvres d’une charité qui l’acculait parfois lui-même à la misère.
Après une vie toute de labeur apostolique, d’inlassable don de soi, d’humilité profonde et de vive piété, il mourut à Padoue le 18 juin 1697. Il avait été béatifié en 1761; le 26 mai 1960, Sa Sainteté Jean XXIII le mit au nombre des saints de l’Église universelle.
Messe Statuit, Ie du Commun des évêques confesseurs, avec collecte propre.

17 juin – LE BIENHEUREUX PAULO D’AREZZO, CARDINAL, ARCHEVÊQUE DE NAPLES ( XVIe SIÈCLE ).


17 juin –
LE BIENHEUREUX PAULO D’AREZZO, CARDINAL, ARCHEVÊQUE DE NAPLES ( XVIe SIÈCLE ).

Le bienheureux Paul d’Arezzo, issu d’une famille noble et ancienne, naquit en 1511, à Itri, petite ville du royaume de Naples, au diocèse de Gaëte. Il annonça dès son enfance qu’il serait un jour un grand serviteur de DIEU. Ses premières études achevées, il s’appliqua au droit, et fut reçu docteur en cette faculté dans l’université de Bologne. Il exerça près de dix ans la charge d’avocat à Naples, où son désintéressement et son intégrité le firent universellement respecter; il résida ensuite dans cette ville en qualité de conseiller royal, mais il renonça bientôt aux espérances qu’il avait de s’avancer dans le monde, entra chez les Théatins, y fit son noviciat avec saint André Avellin, et prononça ses vœux entre les mains de son supérieur, le bienheureux Marinon, le 2 février 1558. À peine eut-il été ordonné prêtre, qu’il se livra avec zèle aux fonctions du saint ministère. Ses vertus éminentes le firent choisir pour supérieur de la maison de Saint-Paul de Naples. Sa conduite prouva qu’il avait toutes les qualités nécessaires pour le gouvernement. Saint Charles Borromée le chargea, au nom du pape, d’une mission importante en Espagne; le bienheureux Paul s’en acquitta avec succès, et obtint qu’il ne serait porté aucune atteinte aux libertés et aux privilèges de la ville de Naples. En revenant, il passa par Rome et eut une audience de Pie IV. De retour à Naples, il fut élu président du chapitre de sa congrégation, et nommé ensuite supérieur à Rome. Pie V, qui occupait alors le Saint-Siège, le consulta sur des affaires importantes.
Ce pape, qui s’appliquait à donner à l’Église des pasteurs zélés, nomma notre bienheureux à l’évêché de Plaisance, et lui ordonna d’accepter. Paul partit pour son diocèse, immédiatement après son sacre. Il eut la douleur de voir qu’on n’y approchait plus des sacrements, qu’on y  négligeait les pratiques de piété, et que la corruption s’était introduite jusque dans le sanctuaire. Pour remédier à ces abus, il employa tous les moyens que peut suggérer un zèle éclairé; mais parmi ces moyens, il n’y en eut pas de plus efficace que son exemple. Sa ferveur, sa modestie, son affabilité, sa douceur, son amour pour la simplicité, la rigueur et la continuité de sa pénitence, ses aumônes, lui méritèrent la vénération et la confiance de tous ses diocésains ( 1 ).
( 1 ) Il fit à Plaisance divers établissements; il y fonda entre autres, une maison pour les clercs réguliers de son ordre, une pour les orphelins, et une troisième pour les filles ou femmes pénitentes. Il tint deux synodes, où il publia des règlements qui seront un monument éternel de son zèle pour la discipline ecclésiastique.
Pie V nomma le bienheureux Paul cardinal, et Grégoire XIII le transféra du siège de Plaisance à celui de Naples, malgré tout ce qu’il put alléguer contre cette translation. Il fut reçu dans cette dernière ville avec les plus grandes démonstrations de joie. Il travailla, comme il avait fait à Plaisance, à la réforme des abus qui avaient pu se glisser dans son nouveau diocèse. La conversion des juifs, des hérétiques et des esclaves mahométans devint un des principaux objets de sa sollicitude.
Cependant sa santé s’affaiblissait de jour en jour, et une toux continuelle le faisait beaucoup souffrir. Sur ces entrefaites, il fit une chute et se cassa l’os du fémur; la fièvre vint ajouter à ses douleurs, et son état devint bientôt dangereux. Il se soumit à la volonté de DIEU avec une parfaite résignation, reçut les derniers Sacrements, et se prépara avec un redoublement de ferveur au passage de l’éternité. Il mourut le 17 juin 1578, à l’âge d’environ soixante-sept ans, et fut béatifié le 13 mai 1772.
PRATIQUES. — Aimons l’Église, obéissons à ses commandements ; prions pour nos légitimes pasteurs.
PRIÈRE. — Ô Jésus, doux Sauveur de nos âmes, donnez-nous la foi, l’espérance et la charité ; faites-nous croître en vertus, et faites que nous n’aimions jamais que vous. Ainsi soit-il.
A.I.


Lundi 17 juin 2013 - ORDO LITURGIQUE


ORDO LITURGIQUE
 Le mois de juin est consacré au Sacré-Cœur de Jésus. Il est recommandé de faire des Exercices en son honneur (litanies, cantiques) en paroisse, dans les communautés et en famille.
( Cet Ordo se base sur le Code des Rubriques promulgué le 25 juillet 1960. )

Semaine entre le Quatrième Dimanche après la Pentecôte
et le Cinquième Dimanche après la Pentecôte.
Jour : Lundi 17 juin 2013.
Fête : Saint Grégoire Barbarigo, évêque et confesseur,
Couleur : blanc.
Classe : 3ème classe.
Épître : Si XLIV, 16-27 | Si XLV, 3-20.
Évangile : Mt XXV, 14-23.

( M.Q.E.V. imprimatur 1961)
17 juin –
Saint GRÉGOIRE BARBARIGO
Évêque et confesseur
Le « confesseur » partage avec le martyr l’honneur d’être  considéré comme un parfait témoin du Christ. Sans qu’il ait dû verser son sang pour lui, il « confesse », c‘est–à-dire proclame son appartenance totale au Christ par la sainteté de sa vie. L’Église n’hésite pas à affirmer l’équivalence des deux témoignages; à l’anniversaire de leur mort, elle célèbre la « naissance » de ses confesseurs à la vie du ciel, comme celle des martyrs à l’anniversaire de leur supplice. ( M.Q.E.V. imprimatur 1956 )
Fête de troisième classe – blanc.
Grégoire Barbarigo naquit à Venise le 16 septembre 1625. Son père, qui voulait l’initier aux affaires de l’État, l’adjoignit à la légation vénitienne qui allait traiter à Münster de la paix de Westphalie. C’est là que la Providence l’attendait, en la personne du légat pontifical Fabio Chigi, qui le prit en amitié et le guida dans les voies du Seigneur. Aussi, rentré à Venise et tourmenté par la soif de se donner à DIEU, alla-t-il se confier à son conseiller, qui le dirigea vers le sacerdoce. Peu après, en 1657, le pape Alexandre VII le consacrait évêque de Bergame; trois ans plus tard, il le créait cardinal, puis le transférait, en 1664, au siège de Padoue.
Comme à Bergame, le saint évêque se montra le modèle des pasteurs, animé d’un zèle vigilant et d’initiatives hardies. Il accordait un soin  tout particulier à la réforme tridentine des séminaires, veillant à la solidité des études cléricales autant qu’à la sainteté de vie des futurs prêtres. Précurseur en maints domaines, il associait les laïcs à la catéchèse populaire, et ses aspirations œcuméniques se manifestaient à la fois  dans la fondation d’une chaire de langues orientales et dans l’érection d’une imprimerie munie de tous les caractères nécessaires à l’édition de ces textes. Infatigable, il parcourait son diocèse en tous sens, multipliant  les visites pastorales, par tous les temps et souvent à pied, prêchant, redressant, encourageant, consolant; père de son peuple, il était envers les pauvres d’une charité qui l’acculait parfois lui-même à la misère.
Après une vie toute de labeur apostolique, d’inlassable don de soi, d’humilité profonde et de vive piété, il mourut à Padoue le 18 juin 1697. Il avait été béatifié en 1761; le 26 mai 1960, Sa Sainteté Jean XXIII le mit au nombre des saints de l’Église universelle.
Messe Statuit, Ie du Commun des évêques confesseurs, avec collecte propre.
COLLECTE
DEUS , qui beátum Gregórium Confessórem tuum atque Pontíficem pastoráli sollicitúdine, et páuperum miseratióne claréscere voluísti: concéde propítius; ut, cujus mérita celebrámus, caritátis imitémur exémpla. Per Dóminum nostrum Jesum Christum.
DIEU qui avez voulu que le bienheureux Grégoire, votre évêque et confesseur, soit un modèle rayonnant de zèle pastoral et de compassion envers les pauvres, faites, dans votre bonté, qu’en célébrant ses mérites, nous imitions aussi ses exemples de charité. Par notre Seigneur.

– 17 juin – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


– 17 juin – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.
« Saints Anges du jour,
LES ANGES DE L’ARC-EN-CIEL :
saint AKABA, saint ELCHAI, saint ZAPHKIEL, saint URIM, saint ABBAEL, saint ELIGUEL, saint THRUSIEL,
donnez-nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.
Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.
Par Jésus-Christ, notre Seigneur.
Ainsi soit-il »

Y. 11 + 13 = 24 L'antéchrist.


11 + 13 = 24.

Le mot de Yannick
11 + 13 = 24
Voici une vérité datant de 24 ans. Les choses ont bien avancé dans le mal maintenant :
Ces courts passages sont extraits d’un fascicule de 72 pages intitulé ‘ RÉVÉLATIONS AU COURS D’EXORCISMES Nº 6 ‘ que vous pouvez commander aux éditions D.F.T. – BP 28 – 35370 ARGENTRÉ-DU-PLESSIS ( FRANCE). Je le recommande vivement à tous ceux qui prennent le salut de leur âme au sérieux et à tous les ‘amoureux de la vérité’.

p.60 « Faites des provisions, l’ANTÉCHRIST EST DÉJÀ PARMI VOUS, PAS ENCORE VISIBLEMENT, MAIS POURTANT À L’OEUVRE. C’EST LA VÉRITÉ. Vous devez faire des provisions matérielles mais plus encore celles de l’esprit, de la prière, de la persévérance, du sacrifice, de l’expiation, etc, beaucoup plus celles-ci que les provisions matérielles.
            Mais vous devez faire aussi des provisions matérielles, de celles qui ne peuvent se gâter, du miel, des légumes secs, etc, et des choses en conserve qui se gardent plusieurs années. VOILÀ CE QUE VOUS DEVEZ FAIRE MAINTENANT. » Exorcisme du11 octobre 1989,  Démon ange Béelzébuth contraint de dire la vérité.
 Souvenons-nous de La Salette ( 1846 ) : Rome perdra la foi et sera le siège de l’Antéchrist
( 2013 ) Rome a perdu la foi et est le siège de l’Antéchrist.

Pensez à Nostradamus : l’an mil neuf cent nonante-neuf sept mois, Du ciel viendra un grand roi d’effrayeur.

Il est venu comme annoncé par Nostradamus. Mais il est venu à sa manière. Avec une certaine discrétion. S’il était venu avec éclat. Tout le monde aurait dit. C’est lui le roi d’effrayeur dont parlait Nostradamus. C’est le diable. Et évidemment, il n’aurait pas pu mettre son plan à exécution.

Scénario ( plausible ) du réel.
Cela s’est passé en 1999, en juillet. 999. Vu d’en haut, 999 donne 666. Du ciel viendra un grand roi d’effrayeur.
Il est arrivé avec sa soucoupe volante. « Du ciel viendra un grand roi d’effrayeur ». Il a atterri dans la base 51. Il a dit aux soldats de garde épouvantés.
– Nous venons de la planète X... , amenez-nous à votre chef . Je prends possession de la base.
Un soldat hésite ( un patriote ), fait un geste pour utiliser son fusil. Avant d’avoir pu réagir, il est foudroyé par un rayon tiré par une arme de poing d’un petit gris.
– Alors ?
Les autres soldats ( patriotes aussi mais terrorisés devant ces apparitions de personnages venus d’ailleurs, et devant la puissance de leurs armes ).
– Tout de suite, suivez-nous.
Ils sont amenés au Commandant de la base.
Le chef ‘extraterrestre’ prend la parole.
-         Général Carpenter ( nom d’emprunt ), nous venons de la planète Xxxx, nous prenons possession de la base et à travers elle de toute la puissance armée des États –Unis. Notre Quartier Général sera ici. Toute résistance est inutile. Prévenez votre Président.
Nous voulons soumission signée par votre Président dans les trois jours. La plus petite résistance sera immédiatement étouffée par une répression totale. Je veux ici dans trois jours aussi la réunion de tous les chefs d’armées. Voici un exemple de notre puissance.
Le chef dit des mots incompréhensibles au petit gris à sa gauche. Celui-ci esquisse un petit sourire de mépris. Pointe son arme sur un Boing stationné à un quilomètre du quartier général.
-         Regardez, dit le chef.
Un rayon. Une explosion énorme. Le Boing éclate, pulvérisé.
Le général abasourdi.
-         Je vais faire ce que vous me dites. Vous comprendrez que je ne peux nullement décider de moi-même des options à prendre.
Il appelle la Maison Blanche par la ligne sécurisée.
-         Monsieur Le Président ?
-         Oui, général Carpenter ?
-         Monsieur le Président ?
-         Eh bien, Carpenter, qu’est-ce que vous voulez ?
-         Je ne peux rien faire, Monsieur le Président, nous n’avons aucun pouvoir pour cela, Monsieur Le Président.
-          De quoi voulez-vous parler, Carpenter ?
-         Ils sont là en face de moi, Monsieur le Président.
-         Qui ‘ils’, Carpenter, les Russes, les Chinois ?
-         Non, Monsieur le Président, les Dwigs ?
-         Vous avez bien dit les Dwigs.
-         Oui, Monsieur le Président.
-         Le mot Dwigs était un nom de code entre le Président et le Chef de la base. Cela voulait dire, une puissance inconnue supérieure contre laquelle il est inutile de résister mais avec laquelle il fallait négocier la survivance de la nation. Le mot Parks était l’autre nom de code d’une puissance inconnue mais contre laquelle la résistance restait du domaine du possible. C’est pourquoi le Président voulait s’assurer s’il s’agissait des Dwigs ou des Parks. Hélas, c’était les Dwigs.
-         Dites-leur que nous nous mettons à leur service à condition qu’ils épargnent la nation américaine.
-         Bien, Monsieur le Président, je vais répéter vos ordres.
Alors, non sans un certain courage, le Général Carpenter se tournant vers le chef des assiégeant.
-         Comment dois-je vous appeler, afin que je vous rapporte les mots de notre Président ?
-         Commandant Transberg, à votre façon de parler humaine.
Le Général Carpenter répéta à Transberg les mots du Président.
-         Bien, dit Transberg, tout cela me paraît tout à fait raisonnable. Faites ce que l’on vous dit et tout ira bien. Ah, au fait, le soldat près de la guérite trente-trois, il fume une cigarette, c’est un mauvais soldat. James ?
James devait être le nom du petit gris de gauche. James avait compris. Il pointa l’arme vers le dit soldat se détendant en fumant une cigarette. Pfuuuiiit. Un rayon, au bout du rayon, à un kilomètre, un boule de feu. Déjà le soldat de garde n’était plus.
Le Général Carpenter eut un sursaut d’indignation.
-         Quoi, lui dit Transberg, vous regrettez un soldat négligent ? Dorénavant, pour éviter ce regrettable mode d’éducation par l’exemple, vous donnerez des ordres de façon à ce que la base soit mieux gardée et que personne n’y entrât sans votre autorisation formelle. Bien entendu, à chaque fois, vous me poserez la question avant pour obtenir chaque autorisation, compris, général Carpenter? Je vous reconduis dans vos fonctions. Estimez-vous heureux !
-         Oui, Mon Commandant.
-         - Merci, mon Commandant, devriez-vous plutôt dire. Je sais que vous avez une fille de vingt-cinq ans. Il serait malheureux pour elle que vous fîtes un faux pas, vous me comprenez, bien sûr. Très efficaces, nos armes, n’est-ce pas ? Je vous en ferai voir d’autres, patientez. Les Russes vous envieront. J’exige de vos hommes une obéissance totale vis à vis de vous, au péril de la vie des vôtres. Est-ce clair ? Et maintenant, montrez-nous nos quartiers. Nous voulons, bien sûr, ce qu’il y a de meilleur.
-         Brigadiers Charlain, dit le Général Carpenter. Conduisez ces personnages à leur Quartier Général et installez pour nous dans le hangar Trois une suite convenable.   

Y. ROSAIRE ( 1 )


ROSAIRE ( 1 )
A :Y du chapelet et des prières de la journée en général
B :  VICTOIRES TEMPORELLES OBTENUES PAR LE ROSAIRE ( 1 )

B : VICTOIRES TEMPORELLES OBTENUES PAR LE ROSAIRE ( 1 )

Extraits du « Secret Admirable du Très Saint Rosaire ... » de Saint Louis de Montfort.
( POUR GAGNER À 500 CONTRE 10.000).
Alphonse huitième,  roi d’Aragon et de Castille, fut, à cause de ses péchés, châtié de DIEU en plusieurs manières et il fut contraint de se retirer dans une ville de l’un de ses alliés. Saint Dominique, se rencontrant en cette même ville le jour de Noël, y prêcha à son ordinaire le Rosaire et les grâces que l’on obtient de DIEU par cette dévotion et dit, entre autres choses, que ceux qui le réciteraient dévotement obtiendraient la victoire de leurs ennemis et recouvreraient tout ce qu’ils avaient perdu.
Le roi remarque bien ces paroles, envoie quérir saint Dominique et lui demande si ce qu’il avait prêché du Saint Rosaire était véritable. Le Saint répondit qu’il n’en fallait point douter et lui promit que s’il voulait pratiquer cette dévotion et s’enrôler en la confrérie, il en verrait les effets. Le roi se résolut de réciter tous les jours le Rosaire, et il continue pendant un an, et le même jour de Noël, ayant récité son Rosaire, la Sainte Vierge lui apparut et lui dit : « Alphonse, il y a un an que tu me sers dévotement par mon Rosaire, je viens te récompenser. Sache que j’ai obtenu de mon Fils le pardon de tous tes péchés ; voilà un rosaire que je te donne ;
1

Le mot de Yannick :
Chapelet = 1/3 de Rosaire. 1 Chapelet = Cinq mystères ( soit joyeux, soit douloureux, soit glorieux ).
Mystères Lumineux ?: Non, seulement si ( et quand ) approuvés par Paul VI libéré, seul Pape de DIEU. Ce site est un site internet survivantiste. C’est à dire qui reconnait la survie de Paul VI seul chef de l’Église Catholique à l’exclusion de tout autre quelque soit sa qualité et la réapparition de Paul VI à l’heure de DIEU tel que prophétisé par Madame Royer.
Si Paul VI un jour nous parle de la méditation de ‘mystères lumineux’ nous les dirons, mais cela nous étonnerait car le Rosaire est appelé le Psautier de Marie et c’est le Ciel qui l’a donné, et les 150 Je Vous salue Marie correspondent aux 150 Psaumes. Avec les 50 Je vous salue Marie en plus de Monsieur Wojtyla, qui pour nous ne fut jamais Pape, puisque c’est Paul VI LE PAPE, la merveilleuse harmonie des 150  chants nouveaux que sont les 150 Je Vous salue Marie correspondant aux 150 psaumes anciens est brisée : nous arrivons sans raison à 200, ce qui ne correspond à rien de biblique dans l’Ancien Testament. Mais le Ciel ne se contredit pas. DIEU ne nous dit pas vert un jour et rouge le lendemain sur le même objet.
Revenons au 150 Je Vous Salue Marie. Dans chacune de ses apparitions, la Vierge ( à Fatima ) a demandé aux trois petits enfants, et à travers eux à tous les Catholiques, de prier tous les jours le Chapelet ( La Vierge a clairement dit : ‘Terço’, en Portugais, et non ‘Rosario’ ). La Vierge a dit ‘Terço’, un Tiers, un tiers de quoi ? Un tiers de 150, c’est à dire 50 Ave.
En Portugais ‘Rosaire’ se dit ‘Rosario’ et ‘Chapelet’ ‘Terço’. Il n’y a pas de confusion possible. La Vierge à Fatima parlait du ‘Terço’ à réciter tous les jours, et c’est le minimum demandé à tous les Catholiques.
Ici ( Saint Louis de Montfort ), il semble bien qu’il s’agisse du ‘Rosaire’ = 3 ‘Terços’. 3 Chapelets. C’est ce que fit Alphonse huitième, et il recouvrit tout ce qu’il avait perdu à cause de ses péchés. Avez-vous perdu quoique ce soit à cause de vos péchés, faites comme Alphonse huitième et vous recouvrirez votre perte ? Mais reconnaissez d’abord humblement que ce que vous avez perdu, c’est à cause de vos péchés.
Voici comment y arriver :
1 ‘Chapelet’ le matin ( ¼ d’heure ). Par exemple, après s’être lavé et avoir pris le petit déjeuner.
1 ‘Chapelet’ l’après-midi ( ¼ d’heure ). Par exemple, après le repas de midi.
1 ‘Chapelet’ le soir (¼ d’heure). Par exemple, après le goûter de cinq heures plus ou moins.
C’est tout à fait faisable, mais ça n’est pas facile, avec un minimum de discipline, et à la condition de ne pas rajouter trop de prières complémentaires après chaque dizaine.
Prières complémentaires à la fin de chaque dizaine,
pour qui entreprend de dire au minimum un Chapelet tous les jours comme la Vierge l’a demandé à Fatima:
À la fin de chaque dizaine ( Après le Notre PÈRE et les 10 Je Vous Salue Marie ):
1 Gloire soit au Père,
1 Ô mon Jésus pardonnez-nous nos péchés.
1 Grâces du Mystère contemplé: C’EST TOUT
Le corps principal du Chapelet, c’est le Notre Père et la dizaine de Je Vous Salue Marie, après une courte méditation sur le mystère en cours, pas les prières complémentaires.
Si l’on rallonge trop les prières complémentaires, on donne moins d’importance au corps principal que sont le Notre Père et les dix Je vous salue Marie, et l’on risque de se décourager dans notre résolution de dire tous les jours le chapelet. Le démon cherchera tout pour nous décourager : de bonnes intentions en bonnes intentions non demandées par DIEU pour nous coincer. Il pourra peut-être nous inspirer à en faire trop, et l’on se fatiguera. Tenez-vous- en au possible pour prier ¼ d’heure par chapelet ( ‘Terço’ ) et ne changez pas tous les jours de contenu.
PAR CONTRE ON RAJOUTERA QUELQUES PRIÈRES aux prières complémentaires à la fin de la cinquième dizaine du Chapelet:
1 Gloire soit au Père...
1 Ô mon Jésus, pardonnez-nous...
1 Grâce du Mystère contemplé ...
1 Saint Michel Archange, de votre lumière, éclairez-nous.
Saint Michel Archange, de vos ailes, protégez-nous.
Saint Michel Archange, de votre épée, défendez-nous.
1 Que par la miséricorde de DIEU, les âmes des fidèles trépassés reposent en paix Ainsi soit-il.
1 Venez Esprit-Saint, Esprit consolateur, éclairez nos âmes et embrasez nos cœurs.
Venez Esprit-Saint, Esprit consolateur, éclairez nos âmes et embrasez nos cœurs.
Venez Esprit-Saint, Esprit consolateur, éclairez nos âmes et embrasez nos cœurs.
1 Grâces des mystères Joyeux ( ou douloureux ou glorieux ), descendez dans nos âmes.
(à la rigueur on rajoutera ici : et les rendez vraiment saintes)
ET C’EST TOUT.
Voulez-vous priez avec les ‘survivantistes’ en esprit ?
À neuf heures 1 chapelet,
à 14 heures 1 chapelet,
à 17 heures 1 chapelet.
Faisons ce que la Vierge a demandé et tenons-nous-en à cela. C’est-à dire déjà 1 chapelet MAIS tous les jours. Aussi : la Vierge a uniquement demandé comme prière complémentaire obligatoire à la fin de chaque dizaine : Ô mon Jésus... disons-le certainement.
Ce site est un site survivantiste,
c’est à dire un site internet qui reconnait la survie de Paul VI, notre toujours Pape ( depuis sa nomination après Jean XXIII ), toujours vivant. Pour cette raison nous ne pouvons pas admettre ceux qui se présentèrent ensuite sous le nom de Pape, issus des conclaves frauduleux, par suite de la nomination de 111 cardinaux du bord du sosie infernal mis en place par le triste trio Villot-Casaroli-Bénelli mettant numériquement le Saint-Esprit dans l’impossibilité de nommer l’un de son choix successeur de Saint Pierre. Et de toute façon le Saint-Esprit n’aurait pas pu choisir un successeur à Paul VI car il sait bien, Lui, L’Adorable Saint-Esprit, DIEU, que Paul VI vit toujours.  C’est le sosie qui est mort en août 78.
Et donc, nous n’admettons rien de ‘leurs écrits’. JP II, B XVI, François, n’avaient et n’a aucun droit de se faire passer pour Pape et de tromper ainsi les fidèles. JP II et François sont les phalanges communistes dans l’Église, B XVI la phalange franc-maçonne-illuminati : ils ne peuvent absolument pas s’entendre entre eux sauf pour éliminer tout ce qui est vraiment de DIEU : il ne reste pratiquement plus rien. Tous ils jouent à l’ange mais parlent à la dragonne, chacun avec son style. François agit sous la surveillance du communisme russe international.
Revenons au Rosaire : Nous pensons de plus qu’un Pape est là pour défendre le dépôt de la Foi. Le Rosaire a été donné par le Ciel.
Aucun Pape digne de ce nom n’osera rajouter ou retrancher une virgule à ce que le Ciel a donné sans mentionner que le Ciel le demande. Jean Paul II n’étant ni Pape ni Âme privilégiée proposant aux fidèles une révélation de DIEU nous ne mentionnons pas aux fidèles les mystères lumineux qui divisent les chapelètistes ( Ceux qui prient le chapelet tous les jours ). À cause de Monsieur Wojtyla, sous le couvert de la dévotion, le corps de ceux qui étaient unis sous le manteau de la Sainte Vierge est maintenant divisé, il y a les suiveurs de Jean Paul II et les suiveurs de la Tradition de toujours qui continuent à prier selon les directives des saints Dominique, Louis de Montfort, etc, les 150 Je Vous Salue Marie présentés en mystères Joyeux, Douloureux et Glorieux. qui sont un résumé de l’Évangile avec le mystère de la Croix au milieu, les mystères douloureux. Malheur aux fauteurs de scandale.
Le Rosaire est aussi appelé le Psautier de la Sainte Vierge. Les Psaumes sont au nombre de 150. Accepter les mystères lumineux c’est accepter la subversion qui a pris possession de l’Église. C’est entériner la survie de Paul VI, Notre Pape, à l’exclusion de tout autre. Et ça nous n’avons pas le droit de le faire.
Quand Paul VI sera libéré, nous reparlerons de tout cela ; pour le moment travaillons dans le sûr. Le sûr c’est ce qui existait avant que l’abomination de la désolation dont parlait Daniel, dont parla Jésus, n’ait pris place sur le trône de Saint Pierre et ne veuille se faire passer pour la sainte continuité. Amener les choses à propager le modernisme, pourrait-on dire, comme je l’ai dit de la nouvelle messe, inspiré par DIEU, je pense, c’est amener les choses à un état de damnation.
Voici comment je prie :
Je dis l’offrande particulière à chaque dizaine,
Je médite quelques secondes sur le mystère présenté,
Ensuite je dis les paroles Notre Père et Je Vous Salue Marie,
en pensant aux mots que je dis du mieux que je peux mais sans trop m’attarder ;
je pense à qui je m’adresse, et devant qui je comparaîtrai un jour pour être jugé selon mes œuvres,
et je tâche d’avoir mon cœur près de DIEU ou de la Sainte Vierge, pour que les mots du prophète Isaïe ne soient pas valables pour moi : « Ce peuple m’honore des lèvres mais leur cœur est loin de moi ». Et je tâche de vivre en conformité avec l’Évangile pour être près de DIEU, c’est pas facile.
Voilà.  Quand je dis « pauvres pécheurs » ( Sainte Marie, Mère de DIEU et notre Mère, priez pour nous pauvres pécheurs ..,) je le pense de moi et je supplie DIEU et la Très Sainte Vierge Marie et Saint Joseph et Saint Michel Archange et tous les Saints de m’arracher de la boue du péché et de ses tragiques conséquences éternelles, si je ne rectifie pas ces torts graves. À quoi ça sert de les regretter si c’est pour ne pas les quitter ?
C’est ainsi que je fais.
Quoi d’autre ? J’arrive très rarement à dire dans la journée un Rosaire entier. Je dis difficilement un chapelet : Je m’occupe d’une femme âgée invalide qui grâce à DIEU aime prier.
Quelles sont les prières que je dis tous les jours :
La prière en l’honneur de la Plaie de l’Épaule de Notre Seigneur ( donnée à Saint Bernard ),
Les sept oraisons de Sainte Brigitte pour ne pas aller au Purgatoire,
Le chapelet ( des jours je n’y arrive pas ) car d’abord les soins aux malades 
( invalides ), mais je fais tout pour le dire,
Le chapelet de Saint Michel, j’y tiens beaucoup,
Trois Exorcismes de Léon XIII,
Prière du matin ( plus souvent courte : Notre Père, Je Vous Salue Marie, St Joseph, Gloire, Saint Michel Archange ),
Lecture de l’Épître et de l’Évangile de l’Ordo Liturgique,
Si possible 1 chapitre entier de l’Évangile correspondant au numéro du jour dans le mois : Par exemple on est le 15 juin, je lis St Marc chapitre 15.
Le reste est du surcroît. Je sais que certaines autres prières sont demandées mais je n’y arrive pas encore toujours. Déjà je suis bien content quand j’ai pu faire tout cela. C’est ce que je propose aux retraités. Ceux qui sont dans la vie active, qu’ils s’en tiennent à la Prière du matin et du soir et au Chapelet, c’est déjà bien.
La télé, mieux vaut l’éviter pour les raisons déjà dites par des âmes privilégiées et qui sont vraies.
Voici les mots que je dis :
Notre Père qui êtes aux cieux,
Que Votre Nom soit sanctifié, Que Votre Règne arrive,
Que Vôtre Volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donnez-nous aujourd’hui notre pain de chaque jour,
Pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés,
Et ne nous laissez pas succomber à la Tentation,
Mais délivrez-nous du mal. Ainsi soit-il.
Je Vous salue, Marie, pleine de grâce,
Le Seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus adorable le fruit de vos entrailles est béni ;
Sainte Marie Mère de DIEU et notre mère,
Priez pour nous pauvres pécheurs maintenant,
Et alors de notre mort. Ainsi soit-il.
Gloire soit au Père et au Fils et au Saint-Esprit,
Comme il était au commencement maintenant et toujours et dans tous les siècles des siècles. Ainsi soit-il.
La Bible donne trois ans et demi de victoire du mal. L’erreur l’emportera sur la vérité pendant trois ans et demi. Il y aura des martyrs. Les bons seront martyrisés, a clairement dit la Vierge à Fatima. Car ses demandes n’ont pas été exécutées. Résultat : les bons seront martyrisés. Si vous n’êtes pas martyrisé d’une manière ou d’une autre c’est que vous n’êtes pas bon ! C’est aussi simple que cela. Ou alors DIEU vous réserve pour autre chose. Tant qu’ils le pourront ils ( les mauvais ) feront cela de manière cachée ou par toutes sortes de tricheries, facilement décelables pourtant  mais quel juge prendra la peine de défendre la vérité dans les temps où nous vivons.
Ce qui compte, ce n’est pas tant cette vie mortelle, ce qui compte c’est l’éternité. Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et ne peuvent rien de plus, craignez DIEU, Notre Père.