- ANCIEN PRIÈRES ROSAIRE ( 3 ? )-
A :Y du chapelet et des prières de la journée en
général (suite ).
Le mot de
Yannick : À Fatima, à chacune des apparitions donc, la Vierge a demandé de
réciter le chapelet ( terço ) 1/3 de Rosaire, tous les jours.
Je pense que cela
s’adresse à tous, aussi bien aux gens qui travaillent toute la journée qu’aux
retraités; aussi bien aux malades qu’au bien portants; aussi bien aux personnes
âgées qu’aux jeunes: tous, nous devons orienter notre vie de façon à arriver à réciter
le chapelet tous les jours. Si vous n’y arrivez pas encore, ne cherchez pas d’excuses. Dites à DIEU: Mon, DIEU, vous
m’aiderez en tout, dans mon organisation de la journée, dans mes travaux, mais
j’y arriverai. J’arriverai à dire mon chapelet tous les jours.
Nous sommes lundi
ou jeudi? Pensez: aujourd’hui, il n’y a rien à faire, je vais dire les mystères
joyeux.
Nous sommes mardi
ou vendredi? pensez: aujourd’hui, je vais dire les mystères douloureux.
Nous sommes
mercredi ou samedi ou dimanche? pensez : aujourd’hui, il n’y a rien à
faire, je vais dire les mystères glorieux.
Cela doit être
votre priorité de la journée. Ne peuvent prévaloir sur ce quart d’heure ( ou 20
minutes données à DIEU ) que des raisons d’ordre réellement vital. Chevalière
Marie-Jeanne s’occupait d’enfants dans une famille, elle nous dit : «
Quand nous disions le chapelet, je ne sais pas comment m’expliquer, mais toute la journée se passait bien, tous
s’organisait à merveille. Quand nous ne disions pas le chapelet, nous
n’arrivions jamais à tout faire ce que nous voulions et à le faire bien. »
Pour le moment
laissez de côté les mystères lumineux qui sont une mise en place du jamais pape
devant DIEU Jean Paul II.
Attention, l’important
c’est de dire cinq ‘Notre Père’ suivis chacun de dix ‘Je Vous Salue Marie’,
d’un ‘Gloire’ et d’un ‘Ô Mon Jésus’, chaque dizaine étant précédée d’une courte
méditation sur chaque mystère. Si vous dites trop de prières complémentaires à
la fin de votre dizaine de ‘Je Vous Salue Marie’, vous vous découragerez
d’arriver à dire tous les jours le chapelet.
Priez avec
application. Un bon système, pour qui
débute et veut parvenir à dire son chapelet, c’est de se donner un temps
déterminé, par exemple un quart d’heure, ni plus ni moins, à cette récitation
du chapelet, et de s’y tenir et de ne rien faire d’autre pendant ce quart
d’heure que de s’occuper du chapelet. À la fin du quart d’heure, on arrête,
même si on n’a pas terminé son chapelet en entier; le lendemain on tâchera d’en
dire plus mais pas au détriment de la qualité
de notre prière ( attention, dévotion, modestie ) pendant ce quart
d’heure. Même si vous ne dites qu’une dizaine, au début, c’est bien. Mieux vaut
bien prier une dizaine que mal cinq dizaines. À force de ténacité vous finirez
par dire dans un temps convenable, pour votre emploi du temps, votre chapelet.
Le but final, mais encore lointain pour certains, c’est le rosaire. 3 chapelets
dans les 24 heures. Personnellement, je n’y arrive que très rarement ( à dire
un Rosaire entier par 24 heures ) mais je n’ai pas encore désisté d’y arriver.
Et maintenant je
prends mon téléphone mobile. Je mets le ‘temporisateur’ à quinze minutes. Je le
mets en marche, et je vais tout de suite donner ce quart d’heure à DIEU et à la
Sainte Vierge à réciter le chapelet.
ET MAINTENANT, SUITE
DE B : ‘VICTOIRES TEMPORELLES OBTENUES PAR LE ROSAIRE’, PAGE 2.
B : VICTOIRES
TEMPORELLES OBTENUES PAR LE ROSAIRE
« porte-le sur toi,
et jamais aucun de tes ennemis ne te pourra nuire. » Elle disparut et laissa le
roi fort consolé; il s’en retourna, tenant ce rosaire à la main et, abordant la
reine, il lui raconta tout joyeux la faveur qu’il venait de recevoir de la
Sainte Vierge; il lui toucha les yeux de ce rosaire, elle recouvra la vue
qu’elle avait perdue.
Quelque temps
après, le roi, ayant ramassé quelques troupes, avec l’aide de ses alliés,
attaqua hardiment ses ennemis, les obligea de rendre ses terres, de réparer ses
dommages, les chassa et devint si heureux en guerre que de tous côtés il lui
venait des soldats pour combattre sous ses enseignes, parce que les victoires
semblaient suivre partout ses batailles. Il ne s’en faut pas étonner, car il ne
livrait jamais de combats qu’après avoir récité son Rosaire à genoux ;
il faisait recevoir dans la confrérie du
Saint Rosaire toute sa cour et obligeait ses officiers et domestiques d’y être
dévots. La reine s’y engagea
aussi, et tous deux persévérèrent au service de la Sainte Vierge et vécurent en
grande piété.
Qui pourrait
raconter les victoires que Simon, comte de Montfort, a remportées sur les
Albigeois sous la protection de Notre-Dame du Rosaire ? Elles sont si
fameuses que le monde n’en a jamais vu de pareilles. Il défit une fois dix mille hérétiques avec cinq cents hommes; une
autre fois, avec trente, il demeura vainqueur de trois mille; ensuite avec huit
cents cavaliers et mille hommes d’infanterie, il tailla en pièces l’armée du
roi d’Aragon, composée de cent mille hommes, sans perdre qu’un seul cavalier et
huit soldats des siens.
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