11 + 13 = 24.
Le mot de Yannick
11 + 13 = 24
Voici une vérité
datant de 24 ans. Les choses ont bien avancé dans le mal maintenant :
Ces courts passages
sont extraits d’un fascicule de 72 pages intitulé ‘ RÉVÉLATIONS AU COURS
D’EXORCISMES Nº 6 ‘ que vous pouvez commander aux éditions D.F.T. – BP 28 –
35370 ARGENTRÉ-DU-PLESSIS ( FRANCE). Je le recommande vivement à tous ceux qui
prennent le salut de leur âme au sérieux et à tous les ‘amoureux de la vérité’.
p.60 « Faites des
provisions, l’ANTÉCHRIST EST DÉJÀ PARMI VOUS, PAS ENCORE VISIBLEMENT, MAIS
POURTANT À L’OEUVRE. C’EST LA VÉRITÉ. Vous devez faire des provisions
matérielles mais plus encore celles de l’esprit, de la prière, de la
persévérance, du sacrifice, de l’expiation, etc, beaucoup plus celles-ci que
les provisions matérielles.
Mais vous devez faire aussi des
provisions matérielles, de celles qui ne peuvent se gâter, du miel, des légumes
secs, etc, et des choses en conserve qui se gardent plusieurs années. VOILÀ CE
QUE VOUS DEVEZ FAIRE MAINTENANT. » Exorcisme du11 octobre 1989, Démon ange Béelzébuth contraint de dire la
vérité.
Souvenons-nous de La Salette ( 1846 ) :
Rome perdra la foi et sera le siège de l’Antéchrist
( 2013 ) Rome a
perdu la foi et est le siège de l’Antéchrist.
Pensez à
Nostradamus : l’an mil neuf cent nonante-neuf sept mois, Du ciel viendra
un grand roi d’effrayeur.
Il est venu comme
annoncé par Nostradamus. Mais il est venu à sa manière. Avec une certaine
discrétion. S’il était venu avec éclat. Tout le monde aurait dit. C’est lui le
roi d’effrayeur dont parlait Nostradamus. C’est le diable. Et évidemment, il
n’aurait pas pu mettre son plan à exécution.
Scénario (
plausible ) du réel.
Cela s’est passé en
1999, en juillet. 999. Vu d’en haut, 999 donne 666. Du ciel viendra un grand
roi d’effrayeur.
Il est arrivé avec
sa soucoupe volante. « Du ciel viendra un grand roi d’effrayeur ». Il a atterri
dans la base 51. Il a dit aux soldats de garde épouvantés.
– Nous venons de la
planète X... , amenez-nous à votre chef . Je prends possession de la base.
Un soldat hésite (
un patriote ), fait un geste pour utiliser son fusil. Avant d’avoir pu réagir, il
est foudroyé par un rayon tiré par une arme de poing d’un petit gris.
– Alors ?
Les autres soldats
( patriotes aussi mais terrorisés devant ces apparitions de personnages venus
d’ailleurs, et devant la puissance de leurs armes ).
– Tout de suite,
suivez-nous.
Ils sont amenés au Commandant
de la base.
Le chef
‘extraterrestre’ prend la parole.
-
Général
Carpenter ( nom d’emprunt ), nous venons de la planète Xxxx, nous prenons
possession de la base et à travers elle de toute la puissance armée des États
–Unis. Notre Quartier Général sera ici. Toute résistance est inutile. Prévenez
votre Président.
Nous
voulons soumission signée par votre Président dans les trois jours. La plus
petite résistance sera immédiatement étouffée par une répression totale. Je
veux ici dans trois jours aussi la réunion de tous les chefs d’armées. Voici un
exemple de notre puissance.
Le
chef dit des mots incompréhensibles au petit gris à sa gauche. Celui-ci
esquisse un petit sourire de mépris. Pointe son arme sur un Boing stationné à
un quilomètre du quartier général.
-
Regardez,
dit le chef.
Un
rayon. Une explosion énorme. Le Boing éclate, pulvérisé.
Le
général abasourdi.
-
Je
vais faire ce que vous me dites. Vous comprendrez que je ne peux nullement
décider de moi-même des options à prendre.
Il
appelle la Maison Blanche par la ligne sécurisée.
-
Monsieur
Le Président ?
-
Oui,
général Carpenter ?
-
Monsieur
le Président ?
-
Eh
bien, Carpenter, qu’est-ce que vous voulez ?
-
Je
ne peux rien faire, Monsieur le Président, nous n’avons aucun pouvoir pour
cela, Monsieur Le Président.
-
De quoi voulez-vous parler, Carpenter ?
-
Ils
sont là en face de moi, Monsieur le Président.
-
Qui
‘ils’, Carpenter, les Russes, les Chinois ?
-
Non,
Monsieur le Président, les Dwigs ?
-
Vous
avez bien dit les Dwigs.
-
Oui,
Monsieur le Président.
-
Le
mot Dwigs était un nom de code entre le Président et le Chef de la base. Cela
voulait dire, une puissance inconnue supérieure contre laquelle il est inutile
de résister mais avec laquelle il fallait négocier la survivance de la nation.
Le mot Parks était l’autre nom de code d’une puissance inconnue mais contre
laquelle la résistance restait du domaine du possible. C’est pourquoi le
Président voulait s’assurer s’il s’agissait des Dwigs ou des Parks. Hélas,
c’était les Dwigs.
-
Dites-leur
que nous nous mettons à leur service à condition qu’ils épargnent la nation
américaine.
-
Bien,
Monsieur le Président, je vais répéter vos ordres.
Alors,
non sans un certain courage, le Général Carpenter se tournant vers le chef des
assiégeant.
-
Comment
dois-je vous appeler, afin que je vous rapporte les mots de notre
Président ?
-
Commandant
Transberg, à votre façon de parler humaine.
Le
Général Carpenter répéta à Transberg les mots du Président.
-
Bien,
dit Transberg, tout cela me paraît tout à fait raisonnable. Faites ce que l’on
vous dit et tout ira bien. Ah, au fait, le soldat près de la guérite trente-trois,
il fume une cigarette, c’est un mauvais soldat. James ?
James
devait être le nom du petit gris de gauche. James avait compris. Il pointa
l’arme vers le dit soldat se détendant en fumant une cigarette. Pfuuuiiit. Un
rayon, au bout du rayon, à un kilomètre, un boule de feu. Déjà le soldat de
garde n’était plus.
Le
Général Carpenter eut un sursaut d’indignation.
-
Quoi,
lui dit Transberg, vous regrettez un soldat négligent ? Dorénavant, pour
éviter ce regrettable mode d’éducation par l’exemple, vous donnerez des ordres
de façon à ce que la base soit mieux gardée et que personne n’y entrât sans
votre autorisation formelle. Bien entendu, à chaque fois, vous me poserez la
question avant pour obtenir chaque autorisation, compris, général Carpenter? Je
vous reconduis dans vos fonctions. Estimez-vous heureux !
-
Oui,
Mon Commandant.
-
-
Merci, mon Commandant, devriez-vous plutôt dire. Je sais que vous avez une
fille de vingt-cinq ans. Il serait malheureux pour elle que vous fîtes un faux
pas, vous me comprenez, bien sûr. Très efficaces, nos armes, n’est-ce
pas ? Je vous en ferai voir d’autres, patientez. Les Russes vous
envieront. J’exige de vos hommes une obéissance totale vis à vis de vous, au
péril de la vie des vôtres. Est-ce clair ? Et maintenant, montrez-nous nos
quartiers. Nous voulons, bien sûr, ce qu’il y a de meilleur.
-
Brigadiers
Charlain, dit le Général Carpenter. Conduisez ces personnages à leur Quartier
Général et installez pour nous dans le hangar Trois une suite convenable.
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