Monday, 5 August 2013

Y. UNE PHOTO QUI PARLE !



Le mot de Yannick. Titre: Une photo qui parle !
Dans le Post du 23/01/2012 de ce Blog, je publiais cette photo; l'article ( le Post ) avait pour titre:
LE VRAI VISAGE DU VRAI PAPE PAUL VI ( I ).
Et maintenant, regardez bien avec moi cette photo. Que remarquez vous?

Remettons-nous dans 'l'ambiance', cette photo a été prise alors que Paul VI est déjà prisonnier de ceux en qui il avait mis sa confiance. Le trio infernal Villot-Benelli-Casaroli contrôle son courrier, pactise avec la synagogue de satan et publie des articles sous son nom.
Le pape est isolé, le martyr est conspué par les 'siens',  il ne peut pas dire par le micro: «  les textes sous mon nom sont d'un autre, je suis un prisonnier ! », le son serait aussitôt coupé ( celui qui vous écrit en sait quelque chose ! ). Comment Paul VI peut-il s'y prendre pour clamer au monde fidèle, attentif, qui comprend que quelque chose ne va pas, que ce qui sort au monde n'est pas de lui mais de l'ennemi ? 
On vient le prendre en photo pour montrer au monde que tout va bien.
Et là, Paul VI a un coup de génie ! Éclairé par l'Esprit-Saint, il dit au monde par cette photo: Ne suivez plus aucune des directives soit disant venant de moi: mon bras droit, c'est le diable!
Regardez bien, comment notre Pape, au moment de la photo, a fait pivoter légèrement son anneau ( ce sera les yeux du diable ! ); il écarte légèrement le petit doigt, ( ce sera le menton 'en galoche' et la barbe du visage du diable ! ); il relève légèrement son doigt à l'anneau, ( alors que pour une bénédiction normale chrétienne, petit doigt et annulaire doivent être joints et se plaquer contre la paume de manière à ce que, devenus invisibles, le pouce, l' index et majeur restants signifient la Très Sainte Trinité ), ce sera le nez crochu du diable. Notre pape se sert maintenant de son index et de son majeur pour les oreilles ( ou plutôt les cornes ) du diable. Traduction, ma main droite ( mon bras droit : le bras droit de Paul VI c'était alors Mgr Villot ), maintenant, c'est le diable, ne l'écoutez pas.

Serait-ce aller trop loin dans ce chemin pour croire que Paul VI a aussi donné sur cette photo, à la barbe de ses geôliers, les lettres constitutives du nom de celui par qui le scandale arrive: VILLOT, avec le peu de moyens dont il disposait: Nous n'avons rien à perdre de chercher.
Suite probable donc:
La chaîne d'or et la ligne de la main droite continuée par l'index et le majeur pourraient signifier un grand V; la bouche du diable, blanche, et la croix, pourraient signifier un O et un T; l'index et le majeur, deux l; la bague, le point sur le i, dont le trait du i serait le petit bout de chaîne qui retient la croix: i. Ne pensez pas que je cherche trop loin. Quand un prisonnier important veut communiquer, les moyens à sa disposition sont dérisoires, le temps compté, la surveillance impitoyable. C'est pourquoi la partie libre des fidèles doit suivre toutes les sources d'informations possibles quitte à se tromper et à continuer à chercher jusqu'à ce qu'elle ait une réponse quelconque au lieu de critiquer sans étude. Il s'agit d'un pape, d'une situation importante. Paul VI compte sur notre fidélité, sur notre loyauté, sur notre perspicacité. Il n'avait que ce moyen, une simple photo, pour dire tant à ses fidèles. Il faut chercher ce qu'il a pu 'dire' et 'faire' pour nous 'dire' tant en si peu de temps, avec les si petits moyens de bord.
Par exemple, regardez les bouts des manches de sa chemise, ils n'ont pas de bouton de manchettes, pas de boutons simples non plus, et le bout de chacune des deux manches n'est même pas fermé, ce qui chez un pape est anormal. Comment interpréter cela? Cela vient-il d'une volonté de Paul VI de nous dire quelque chose à la barbe de ses geôliers ou cela vient-il de ses geôliers mêmes, et si oui, pourquoi ?
Merci de comprendre mes recherches.
Pour le moment, j'en retiens ceci: pour moi il est indéniable que Paul VI 'bâillonné' a voulu nous dire ceci: Mon bras droit, c'est le diable, ne croyez rien de tout ce qui paraît sous mon nom ! et le diable, c'est Villot !
Une dernière chose. La main gauche de Paul VI. Par un effet d'optique saisissant on dirait que la main gauche de Paul VI est en train de caresser la tête du lion, et que le lion apprécie et a l'air même de sourire. Ceci c'est DIEU qui l'a voulu ou l'a permis comme pour toute photo miraculeuse que l'on voit parfois sur les lieux authentiques d'apparition. Je l’interprète ainsi. DIEU nous dit: Moi, le lion de la tribu de Juda, j'aime bien celui qui me caresse la tête, nous nous entendons bien.
Vous avez le droit de ne pas penser comme moi, tant que vous êtes sincère avec vous-même.

Et bien sûr quand Paul VI sera libéré, nous lui poserons la question: « votre main imitant la tête du diable, Très Saint Père, c'était voulu ? »
( À suivre ... ) ( en italique, des rajouts à la relecture )

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