Thursday, 31 May 2012

Suggestion: Relisez le post du 24 mars 2012, dans ce blog.


Suggestion:

Relisez le post du 24 mars 2012, dans ce blog.

Qui que vous soyez, ami ou ennemi de DIEU.

Saint Gabriel, du 24 mars au 29 septembre ? LE QUATRIÈME ANIMAL ( VISION DE DANIEL POUR NOS JOURS ).


LISTE DES SAINTS ANGES DU JOUR DU MOIS DE JUIN ( du 1er JUIN au 21 JUIN ).


LISTE DES SAINTS ANGES DU JOUR DU MOIS DE JUIN
( DU 1er JUIN au 21 JUIN ).

MOIS DE JUIN: CONSACRÉ AU SACRÉ-COEUR DE JÉSUS

01        JESU              I           Il vient en Sauveur
02        GAZAR          IV        Il porte le sacrifice de louange
03        LES 14 AUXILIAIRES CÉLESTES :
MIRACHIEL, ARIGUEL, DIURIM, EZECHIEL, THAAMIM, SAMALIEL, HAJIM, NITHASIEL, SINAH, MANUEL, SCHEADAR, RAPHAEL, BILAEL, BERUBIEL.
04        JOSAPHIM    V         Ange de la pureté de l’Église
05        AMPHIEL      IV        Ange des coupes de la colère
06        OPHAJIM      III         Trône du Saint-Esprit
07        THRUSIEL    IX       Ange de ceux que le péché a rendu muets
08        AYDIEL          VI        Ange des travailleurs
09        PHARACHIEL          VII       Ange de la douceur
10        LES ANGES DU TABERNACLE :
CHALED, TARAEL, LELAJAH, HAJIM, HABEJAH, FRUGIEL, PHASED.
11        ATHASIEL     VI        Ange des âmes oblatives
12        NUN               V         Ange de l’abandon secret
13        HOD               II          ‘Louange de DIEU’
14        NAZARIEL    IX        Ange du sacrifice expiatoire
15        HACHANAEL           IX        Ange de la plainte
16        MIRACHAR              VI        Ange du printemps
17        LES ANGES DE L’ARC-EN-CIEL :
AKABA, ELCHAI, ZAPHKIEL, URIM, ABBAEL, ELIGUEL, THRUSIEL.
18        ASSIM           III         Sagesse de la planification
19        GETHULIEL  VII       Ange de la simplicité du cœur
20        MERIEL         VII       Ange de la fidélité
21        MATTATIEL   IV        Il scelle l’élan vers DIEU

Wednesday, 30 May 2012

31 mai - SAINTE PÉTRONILLE, VIERGE ( Ier SIÈCLE ).

31 mai - Sainte PÉTRONILLE, VIERGE ( Ier SIÈCLE ).


Selon quelques auteurs, cette sainte, dont le nom est un diminutif de celui de Pierre, était fille du prince des apôtres, et serait née de lui avant sa vocation à l'apostolat; car, disent saint Jérôme et d'autres anciens Pères de l'Église, du moment de sa vocation, il vécut dans la continence.
Mais il ne paraît pas certain qu'elle ait été plus que sa fille spirituelle. Elle vivait à Rome et fut enterrée sur le chemin d'Ardée, où il y avait anciennement un cimetière et une église de son nom, si célèbres que le pape Grégoire III y établit une station.


PRATIQUES. - La vie d'un chrétien doit être pure, fervente et remplie de bonnes oeuvres; il doit encore rapporter toutes ses pensées et toutes ses actions à DIEU comme à sa fin dernière.


PRIÈRE. - Ô DIEU, source de lumière, éclairez nos esprits, et faites que nous regardions comme perdus tous les moments dans lesquels nous ne faisons pas une action méritoire pour la bienheureuse éternité.


A.I.



31 mai – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


31 mai – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


« Saints Anges du jour, Saint BINAH,  III ( Trône ), Trône du Père,
Saint LEVANAEL, VI ( Puissance ), Ange du chant d'amour de Marie,

donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.

Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.

Par Jésus-Christ, notre Seigneur.

Ainsi soit-il »

LE CHAPELET, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, cinquième dizaine.


LE CHAPELET, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, cinquième dizaine.

MYSTÈRES GLORIEUX

À la cinquième dizaine. - Nous Vous offrons, Seigneur Jésus, cette cinquième et dernière dizaine, en l'honneur du Couronnement de Gloire de Votre Très Sainte Mère dans les Cieux, et nous Vous demandons, par ce mystère et par son 'intercession, la persévérance et l’augmentation dans la vertu jusqu’à la mort, et la couronne éternelle, qui nous est préparée. Nous Vous demandons la même grâce pour tous les justes, nos familles et nos amis.
Avant de commencer la dizaine, quelques dix secondes de méditation sur le mystère, et l'on dira à chaque 'Je Vous salue, Marie' « et Jésus Vous couronnant. »

1 NOTRE PÈRE,
10 JE VOUS SALUE, MARIE,
1 GLOIRE SOIT AU PÈRE ...

« Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer et conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de Votre Miséricorde. »

« Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous. »

« Grâce du Mystère du Couronnement de la Sainte Vierge dans le Ciel, descendez dans nos âmes et les rendez vraiment saintes. Ainsi soit-il.»

Saint Michel Archange, de votre lumière, éclairez-nous.
Saint Michel Archange, de vos ailes, protégez-nous.
Saint Michel Archange, de votre épée, défendez-nous.

Que par la miséricorde de DIEU, les âmes des fidèles trépassés reposent en paix. Ainsi soit-il.

Venez, Esprit-Saint, Esprit consolateur,
Éclairez nos âmes et embrasez nos cœurs. (ter)

Grâce des mystères glorieux,
Descendez dans nos âmes, et les rendez vraiment saintes.
Ainsi soit-il.

FIN DU CHAPELET DES MYSTÈRES GLORIEUX.

À la fin des trois chapelets, quand on dit un Rosaire entier dans la journée ( = trois chapelets, 1 le matin, 1 l’après-midi, 1 le soir ), on dit :
                Nous Vous prions, Seigneur Jésus, par les quinze mystères de Votre Vie,
Votre Mort et Passion,
et Votre Gloire
et les Mérites de Votre Sainte Mère,
de convertir les pécheurs,
de ramener les apostats,
d’aider les agonisants,
de délivrer les âmes du purgatoire,
et de nous donner à tous Votre Grâce pour bien vivre et bien mourir,
et Votre Gloire pour Vous voir face à face
et Vous aimer pendant l’éternité.
Ainsi soit-il.

LE CHAPELET, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, quatrième dizaine.


LE CHAPELET, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, quatrième dizaine.

MYSTÈRES GLORIEUX
À la quatrième dizaine. - Nous Vous offrons, Seigneur Jésus, cette quatrième dizaine, en l'honneur de la Conception Immaculée et de l’Assomption en Corps et en Âme de Votre Très Sainte Mère dans les Cieux, et nous Vous demandons, par ces deux mystères et par son intercession, une vraie dévotion envers Elle, pour vivre et mourir Saintement.
Avant de commencer la dizaine, quelques dix secondes de méditation sur les deux mystères, et l'on dira à chaque  'Je Vous salue, Marie' « et Jésus vous ressuscitant. »

1 NOTRE PÈRE,
10 JE VOUS SALUE, MARIE,
1 GLOIRE SOIT AU PÈRE ...

« Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer et conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de Votre Miséricorde. »

« Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous. »

« Grâce du Mystère de l’Immaculée Conception et de l’Assomption de Marie, descendez dans nos âmes et les rendez vraiment saintes. Ainsi soit-il.»

LE CHAPELET, Pentecôte, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, troisième dizaine.


LE CHAPELET, Pentecôte, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, troisième dizaine.

MYSTÈRES GLORIEUX
À la troisième dizaine. - Nous Vous offrons, Saint-Esprit, cette troisième dizaine, en l'honneur du mystère de la Pentecôte, et nous Vous demandons, par ce mystère et par  l'intercession de Votre fidèle Épouse, la Grâce de Vos lumières et Vos sept dons.
Avant de commencer la dizaine, quelques dix secondes de méditation sur le mystère, et l'on dira à chaque 'Je Vous salue, Marie' « et Jésus vous remplissant du Saint-Esprit. »

1 NOTRE PÈRE,
10 JE VOUS SALUE, MARIE,
1 GLOIRE SOIT AU PÈRE ...
« Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer et conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de Votre Miséricorde. »
« Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous. »
« Grâce du Mystère de la Pentecôte, descendez dans nos âmes et les rendez vraiment saintes. Ainsi soit-il.»

Invitation: Ceux qui n'ont jamais prié une seule dizaine de chapelet, je les invite à commencer dès maintenant, tout de suite (allez quand même éteindre le feu sous la soupe quelques instants, si cela est nécessaire: sécurité avant tout, puis allez-y !), ça n'a jamais fait de mal à personne, au contraire, la prière bien faite (c'est à dire en priant avec application en pensant à qui on s'adresse et en faisant attention à ce que l'on dit), c'est l'oxygène de l'âme.



Méditation.
Épître : Ac II, 1-11.
 Le jour de la Pentecôte, les disciples se trouvaient tous réunis dans la même salle. Tout à coup, il se produisit dans le ciel un bruit aussi violent que le souffle d’un ouragan; et toute la maison où ils se trouvaient en résonna.
Ils virent alors des langues de feu qui se séparaient et se posaient sur chacun d’eux. Et tous furent remplis de l’Esprit Saint. Ils se mirent à parler toutes sortes de langues; et chacun s’exprimait suivant le don de l’Esprit Saint.
Des Juifs, venus en pèlerinage de tous les pays du monde, séjournaient alors à Jérusalem. Au bruit qui venait d’éclater, la foule se rassembla. Ils étaient désorientés: chacun les entendait parler dans son propre langage. Émerveillés, ils exprimaient leur stupéfaction: « Ces gens-là qui nous parlent ne sont-ils pas tous des Galiléens ? Comment se fait-il que chacun de nous les entende dans sa langue maternelle ? Et il y a parmi nous des Parthes, des Mèdes, des Élamites, des gens de la Mésopotamie, de la Judée, de la Cappadoce, de la mer Noire et de l’Asie Mineure, de la Phrygie et de la Pamphylie, de l’Égypte et de la Lybie Cyrénaïque, et des étrangers venus de Rome; il y a des Juifs de naissance et des convertis, même des Crétois et des Arabes. Et voilà que tous, nous les entendons célébrer dans notre propre langue les merveilles de DIEU ! »
( M.Q.D.F. imprimatur 1961 )

LE CHAPELET médité, Ascension, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, deuxième dizaine.


LE CHAPELET, Ascension, le mercredi, le samedi et le dimanche: Mystères glorieux, deuxième dizaine.

MYSTÈRES GLORIEUX
( OFFRANDE DE LA DEUXIÈME DIZAINE DES MYSTÈRES GLORIEUX )
À la deuxième dizaine. - Nous Vous offrons, Seigneur Jésus, cette deuxième dizaine, en l'honneur de Votre Glorieuse Ascension, et nous Vous demandons, par ce mystère et par l'intercession de Votre Très Sainte Mère, une ferme espérance et un grand désir du Ciel.
Avant de commencer la dizaine, quelques dix secondes de méditation sur le mystère, et l'on dira à chaque 'Je Vous salue, Marie' « et Jésus montant aux Cieux. »

1 NOTRE PÈRE,
10 JE VOUS SALUE, MARIE,
1 GLOIRE SOIT AU PÈRE ...

« Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer et conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de Votre Miséricorde. »

« Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous. »

« Grâce du Mystère de l’Ascension, descendez dans nos âmes et les rendez vraiment saintes. Ainsi soit-t-il. »

InvitationSaviez-vous qu’à Fatima la Sainte Vierge, à chaque apparition,  a demandé de prier le chapelet tous les jours ?
Ceux qui n'ont jamais prié une seule dizaine de chapelet, je les invite à commencer dès maintenant, tout de suite (allez quand même éteindre le feu sous la soupe quelques instants, si cela est nécessaire: sécurité avant tout, puis allez-y !), ça n'a jamais fait de mal à personne, au contraire, la prière bien faite (c'est à dire en priant avec application en pensant à qui l'on s'adresse et en faisant attention à ce que l'on dit), c'est l'oxygène de l'âme.

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Méditation sur le mystère de l'Ascension ( tirées de la Messe de l'Ascension ).


Épître : Actes des Apôtres, I, 1-11.


THÉOPHILE, dans mon premier livre, j’ai raconté tout ce que Jésus a fait et enseigné depuis le commencement jusqu’au jour où, après avoir fait ses recommandations, par l’Esprit-Saint, aux Apôtres qu’il avait choisis, il fut élevé au ciel.

C’est à eux aussi qu’après sa passion il se montra vivant, avec force preuve, leur apparaissant pendant quarante jours, et leur parlant du royaume de DIEU.

Comme il mangeait avec eux, il leur ordonna de ne pas s’éloigner de Jérusalem, mais d’attendre la promesse du Père, que vous avez, dit-il, entendue de ma bouche ; car Jean a baptisé dans l’eau, mais vous, vous serez baptisés dans l’Esprit-Saint d’ici peu de jours.

Ceux donc qui se trouvaient réunis l’interrogèrent en disant : Seigneur, est-ce maintenant que vous rétablirez le royaume d’Israël ?

Il leur répondit: Il ne vous appartient pas de connaître les temps ou les moments que le Père a fixés de sa propre autorité; mais vous recevrez la force du Saint-Esprit qui descendra sur vous; et vous serez mes témoins à Jérusalem, et dans toute la Judée et la Samarie, et jusqu’aux extrémités de la terre.

Après qu’il eut dit ces paroles, il fut élevé sous leurs regards, et une nuée le déroba à leurs yeux.

Et comme ils le contemplaient montant au ciel, voici que deux hommes se présentèrent à eux en vêtements blancs, et dirent : Hommes de Galilée, pourquoi restez-vous là à regarder au ciel ? Ce Jésus, qui du milieu de vous a été enlevé au ciel, reviendra de la même manière que vous l’avez vu monter au ciel.





Évangile selon saint Marc, XVI, 14-20.


EN CE TEMPS-LÀ: Tandis que les onze disciples étaient à table, Jésus leur apparut et il leur reprocha leur incrédulité et la dureté de leur cœur, parce qu’ils n’avaient pas cru ceux qui avaient vu qu’il était ressuscité. Et il leur dit : Allez dans le monde entier et prêchez l’Évangile à toute créature. Celui qui croira et sera baptisé sera sauvé; mais celui qui ne croira pas sera condamné.

Voici les miracles qui accompagneront ceux qui auront cru: en mon nom, ils chasseront les démons, ils parleront des langues nouvelles, ils prendront les serpents, et s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera pas de mal; ils imposeront les mains sur les malades, et ils seront guéris.

Et le Seigneur Jésus, après leur avoir parlé, fut élevé dans le ciel, où il est assis à la droite de DIEU.

Et eux, étant partis, prêchèrent partout, le Seigneur opérant avec eux, et confirmant leur parole par les miracles qui l’accompagnaient.


LE CHAPELET, Résurrection, le mercredi, le samedi et le dimanche. Mystères glorieux, première dizaine.


LE CHAPELET, Résurrection, le mercredi, le samedi et le dimanche.
Mystères glorieux, première dizaine.

MYSTÈRES GLORIEUX

À la première dizaine. - Nous Vous offrons, Seigneur Jésus, cette première dizaine, en l'honneur de Votre Résurrection, et nous Vous demandons, par ce mystère et par l'intercession de Votre Très Sainte Mère, une grande foi.
Avant de commencer la dizaine, quelques dix secondes de méditation sur le mystère, et l'on dira à chaque 'Je Vous salue, Marie' « et Jésus ressuscité. »

1 NOTRE PÈRE,
10 JE VOUS SALUE, MARIE,
1 GLOIRE SOIT AU PÈRE ...

« Ô mon Jésus, pardonnez-nous nos péchés, préservez-nous du feu de l'enfer et conduisez au Ciel toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin de Votre Miséricorde. »

« Ô Marie, conçue sans péché, priez pour nous qui avons recours à Vous. »

« Grâce du Mystère de la Résurrection, descendez dans nos âmes et les rendez vraiment saintes. Ainsi soit-il. »

Invitation: Ceux qui n'ont jamais prié une seule dizaine de chapelet, je les invite à commencer dès maintenant, tout de suite (allez quand même éteindre le feu sous la soupe quelques instants, si cela est nécessaire: sécurité avant tout, puis allez-y !), ça n'a jamais fait de mal à personne, au contraire, la prière bien faite (c'est à dire en priant avec application en pensant à qui l'on s'adresse et en faisant attention à ce que l'on dit), c'est l'oxygène de l'âme. 

30 mai – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


30 mai – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.

       « Saint Ange du jour, Saint OSED, IX ( Ange ), Ange des pauvres,

donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.

Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.

Par Jésus-Christ, notre Seigneur.

Ainsi soit-il »

- 30 mai - SAINT FÉLIX, - PAPE ET MARTYR, ( IIIe SIÈCLE ).


-      30 mai - SAINT FÉLIX,
-      PAPE ET MARTYR, ( IIIe SIÈCLE ).
            
            C’est sous le règne d’Aurélien que ce saint Pontife occupa la chaire de saint Pierre.
            Lorsque cet empereur publia un édit contre le christianisme, Félix se montra supérieur à tous les dangers et pourvut aux divers besoins de son troupeau.
            Il inspira par ses exemples du courage à ses fidèles.
            Il avait auparavant combattu Paul de Samosate, qui soutenait que Jésus-Christ était un pur homme, et niait l’union hypostatique du Verbe avec l’humanité.
            Saint Vincent de Lérins, après le concile d’Éphèse, lui donna le titre de martyr, parce qu’il avait souffert persécution et enduré de grands maux pour Jésus-Christ.
            Il mourut en l’année 274.
            D’après les martyrologes, ce fut le 30 mai.
A: I.

PRATIQUES. — À l’exemple des saints, souffrons patiemment les injures et les affronts. On est bien fort lorsqu’on n’a qu’un désir, celui de plaire à Jésus-Christ; et qu’une seule crainte, celle de lui déplaire.

PRIÈRE. — Vos saints, ô mon DIEU, vous ont aimé par-dessus tout. Les souffrances endurées pour vous leur ont paru douces. Pénétrez nos âmes de ces généreux sentiments, afin que notre vie et notre mort soient consacrés à vous glorifier.

27 mai – SAINTE MARIE-MAGDELEINE DE PAZZI, VIERGE. ( XVIIe SIÈCLE ).


27 mai – SAINTE MARIE-MAGDELEINE DE PAZZI,
VIERGE. ( XVIIe SIÈCLE ).

            La sainte que l’Église honore en ce jour naquit, en 1566, à Florence, de l’illustre famille des Pazzi, alliée à la maison souveraine des Médicis.
            Elle reçut au baptême le nom de Catherine, en l’honneur de sainte Catherine de Sienne, pour laquelle on lui vit toujours une grande dévotion.
            Dès les premières lueurs de raison, elle laissait apercevoir d’heureux présages de l’éminente sainteté à laquelle DIEU la destinait.
            À l’âge de sept ans, son amour pour les pauvres était si vif, qu’elle se privait de manger pour les nourrir.
            Ennemie des jeux de l’enfance, elle quittait ses compagnes et se retirait à l’écart pour prier.
            Elle se faisait un véritable bonheur d’instruire les pauvres enfants de la campagne et d’apprendre aux filles des fermiers de son père ce qu’elle savait des principes de la religion.
            Lorsqu’elle eut huit ou neuf ans, son amour pour la prière augmenta tellement, que son seul bonheur était de parler à DIEU ou de DIEU, de méditer sur la passion de Notre-Seigneur Jésus-Christ, et de retracer en elle, par les macérations de la chair, la vie du Sauveur crucifié.
            On ne pourrait exprimer jusqu’où allait son désir de la divine Eucharistie ; elle aimait à se trouver auprès des personnes qui venaient de communier, et il semblait que l’amour lui fit sentir l’odeur de la présence de Jésus-Christ.
            Cette rare dévotion détermina son confesseur à devancer à son égard le temps où l’on permet aux enfants de participer au divin Sacrement de l’autel.
            Elle n’avait que dix ans lorsqu’elle reçut le corps de Jésus-Christ pour la première fois, et à douze ans elle se donna au Seigneur par le vœu de virginité.
            Ses parents la placèrent alors comme pensionnaire chez les religieuses de Saint-Jean, à Florence.
            Cette entière séparation du monde lui causa une grande joie ; dès lors, elle employait quatre heures par jour à la méditation, et passait ce temps-là à genoux ; elle s’appliquait, en un mot, à la pratique de toutes les vertus.
            Son père travaillait cependant à lui procurer un établissement digne de sa naissance ; mais la jeune vierge répondit qu’elle avait choisi Jésus pour son unique époux.
            Elle demanda en même temps la permission d’entrer en religion. Ses parents éprouvèrent de toutes manières sa vocation pendant trois mois, et lui donnèrent enfin le consentement si désiré.
            Elle entra chez les Carmélites, au monastère de Saint-Frédéric, situé dans un faubourg de Florence, et prit l’habit le 30 janvier 1583. Elle avait alors quinze ans environ.
            Après la cérémonie, elle se jeta aux pieds de la maîtresse des novices, la priant de ne pas la ménager, afin qu’elle pût s’accoutumer à la pratique des renoncements et des humiliations.
            Elle fit, durant son noviciat, l’admiration de toutes celles qui furent témoins de sa ferveur et de sa charité.
            Une maladie par laquelle DIEU l’éprouva ne servit qu’à faire éclater en elle les vertus les plus héroïques.
            Rien n’était plus touchant que le désir dont elle brûlait de souffrir pour Celui qui est mort pour nous.
            Une des sœurs lui ayant demandé un jour d’où lui pouvaient venir cette patience et cette force qui faisaient qu’elle ne se plaignait jamais et ne parlait pas même de ses maux, elle lui répondit, en montrant le crucifix qui était auprès de son lit :
            « Voyez ce que l’amour infini de DIEU a fait pour mon salut. Ce même amour voit ma faiblesse et me donne du courage. Ceux qui se rappellent les souffrances de Jésus-Christ et offrent les leurs à DIEU, en union avec celles du Sauveur, ne trouvent rien que de doux et d’aimable dans tout ce qu’ils souffrent. »
            Elle fit profession le 17 mai 1584 : elle changea alors son nom de Catherine pour celui de Marie-Magdeleine, qu’elle honorait comme le parfait modèle des âmes pénitentes.
            Sa profession faite, elle eut plusieurs ravissements et reçut des consolations ineffables pendant quarante jours, et surtout après les communions.
            Elle s’efforçait de dérober à ses sœurs la connaissance des faveurs qu’elle recevait ; et, loin de s’en prévaloir, elle les rapportait à la bonté toute gratuite de son DIEU ; elle en prenait occasion de s’humilier de plus en plus et de purifier, avec un nouveau soin, les affections de son cœur.
            Les transports de son âme pour son divin Sauveur étaient tels, que souvent elle ne les pouvait contenir, et s’écriait :
          « Ô amour ! Faut-il que l’amour ne soit pas aimé, ni même connu de ses propres créatures ? Ô mon Jésus ! que n’ai-je une voix assez forte pour me faire entendre jusqu’aux extrémités du monde ! Je publierais partout que cet amour doit être connu, aimé, estimé comme le seul vrai bien ; mais le détestable poison de l’amour-propre dérobe aux hommes cette sublime connaissance et les rend incapables d’y parvenir. »
            D’autres fois, elle invitait toutes les créatures à se changer en autant de langues pour louer, bénir, glorifier les trésors immenses de l’amour divin.
            Lorsque son oraison était interrompue par la nécessité de vaquer aux devoirs publics, ou de prendre un peu de repos, il lui arrivait de dire :
            « Comment puis-je me reposer, quand je considère que DIEU est si grièvement offensé sur la terre ? Ô amour ! je le fais par obéissance et pour me conformer à votre sainte volonté. »
            Sainte Marie-Magdeleine de Pazzi aimait trop Jésus-Christ pour ne pas désirer le suivre dans la voie rude des souffrances.
            Ce divin Sauveur, pour éprouver sa servante, permit donc qu’elle fût tourmentée horriblement par des tentations d’impureté, de gourmandise, d’infidélité et de blasphème.
            Son imagination était souvent remplie de pensées abominables qui la jetaient dans un état affreux.
            Elle ne goûtait aucun repos, malgré ses ferventes prières à Jésus-Christ et à la reine des Vierges.
            Les disciplines, les cilices armés de pointes de fer ne pouvaient lui rendre le calme : elle se croyait abandonnée à la fureur des puissances infernales..
            Les pensées de blasphème et d’infidélité la poursuivaient avec tant de violence, que quelquefois elle criait à ses sœurs :
            « Priez pour moi, afin que je ne blasphème pas le Seigneur, au lieu de le louer. »
            Le jeûne lui devenait pénible et insupportable.
            À tant de maux se joignit le mépris de la communauté. On traitait d’illusion les grâces extraordinaires qu’on avait admirées en elle.
            DIEU, cependant, n’abandonnait pas entièrement sa servante ; il la soutenait, et chaque fois qu’elle méditait sur la Passion de Jésus-Christ, elle se sentait fortifiée et enflammée d’un nouveau désir d’exprimer encore plus parfaitement en elle l’Homme de douleurs.
            Cet état de désolation dura cinq ans. Enfin DIEU rendit le calme à la sainte et la consola par sa divine présence, le jour de la Pentecôte de l’année 1590.
            Ce retour des consolations fut suivi de beaucoup d’autres grâces singulières.
            DIEU la favorisa du don de prophétie.
            Elle prédit à Léon XI son élévation à la papauté, et lui dit en même temps qu’il mourrait peu de temps après son élection, ce qui fut vérifié par l’événement.
            En 1598, on la fit maîtresse des novices, et elle exerça cet emploi pendant six ans.
            En 1604, on l’élut sous-prieure, et elle fut continuée dans cette charge jusqu’à sa mort.
            Rien n’était capable d’interrompre son union avec DIEU ; en toutes choses, elle envisageait uniquement sa volonté et le désir de lui plaire.
            Sa maxime ordinaire était :
            « Que la volonté de DIEU est toujours aimable ! que notre bonheur est grand ! — disait-elle à ses sœurs nous trafiquons avec DIEU, et toujours à notre avantage, lorsque nous agissons dans la vue de lui plaire et de l’honorer. Venez disait-elle d’autres fois  venez et aimez celui qui vous aime tant. Ô amour ! je meurs de douleur quand je vous vois si peu connu et si peu aimé ! Ô amour, amour ! si vous ne savez où  reposer, venez à moi, et je vous logerai. Ô âmes créées pour l’amour ! pourquoi n’aimez-vous pas ? »
            Marie-Magdeleine était dévorée de zèle pour le salut des âmes ; aussi versait-elle continuellement des larmes dans la vue d’obtenir la conversion des infidèles, des hérétiques, des apostats et des pécheurs, et engageait-elle tous ceux qui avaient quelque rapport avec elle à rapporter leurs bonnes œuvres à cette fin.
            Sa dévotion à l’Eucharistie était telle, ainsi que nous l’avons remarqué, que rien ne lui paraissait comparable au bonheur de communier.
            « Pour me le procurer, disait-elle, je ne balancerais pas d’entrer, s’il était nécessaire, dans la caverne d’un lion, et de m’exposer à toutes sortes de souffrances. »
            Son humilité tenait du prodige ; elle se regardait comme l’opprobre du monastère, le rebut de la communauté et la plus abominable des créatures. Elle se réjouissait d’être oubliée, méprisée, réprimandée et d’être employée aux plus bas offices de la maison.
            De violents maux de tête et de poitrine, accompagnés de fièvre et de crachements de sang, lui causèrent de vives douleurs pendant les dernières années de sa vie : une humeur scorbutique lui fit tomber toutes les dents.
            D’un côté, elle désirait d’être affranchie des liens du corps pour aller se réunir à Jésus-Christ ; de l’autre, elle désirait vivre, afin de continuer de souffrir, et de souffrir même sans consolation pour l’objet de son amour.
            Sentant approcher sa fin, elle exhorta les religieuses à la ferveur et à l’amour des croix ; elle demanda ensuite le sacrement d’Extrême-Onction, qui lui fut administré, et elle communia tous les jours jusqu’à sa mort, qui arriva le 25 mai 1607.
            Elle était âgée de quarante-un ans, un mois, et vingt-quatre jours.
            Urbain VIII la béatifia en 1626, et Alexandre VII la canonisa en 1669.
            Son corps, qui n’a pas été sujet à la corruption du tombeau, se garde à Florence dans une belle châsse.
            DIEU a accordé plusieurs guérisons miraculeuses par l’intercession de sa servante.

PRATIQUES. — Ne soyons pas ennemis des souffrances ; efforçons-nous de pratiquer les devoirs du christianisme. Ces devoirs paraissent pénibles au commencement, mais ils sont ensuite doux et agréables, selon ce que dit la sainte Écriture :
« Les voies de la sagesse sont des voies de plaisir et tous ses sentiers sont des sentiers de paix. »

PRIÈRE. — Ô DIEU de charité ! embrasez nos cœurs du feu sacré de votre saint amour. Soyez, ô Jésus, loué, adoré et remercié partout et toujours.
A.I.