― 12 avril — SAINT JULES, PAPE ( IVe SIÈCLE ).

― 12 avril — SAINT JULES,

PAPE ( IV^e SIÈCLE ).  

Lorsque ce pape monta sur la chaire de saint Pierre, les Ariens troublaient toute l’Église d’Orient, sous le nom d’Eusébiens, du nom de leur chef Eusèbe de Nicomédie.

Ceux-ci déposèrent et accusèrent auprès de Jules

saint Athanase d’Alexandrie,

Marcel d’Ancyre

et d’autres évêques catholiques.

Mais, après examen des causes, tous ces vénérables prélats furent justifiés et rétablis par le Souverain-Pontife sur leurs sièges.

Quant aux Eusébiens, il leur écrivit une remarquable lettre pour leur reprocher d’avoir agi d’eux-mêmes dans la déposition des évêques :

« Ne savez-vous pas que c’est la coutume qu’on nous écrive d’abord, et que la décision doit venir d’ici ? Votre conduite est une nouveauté dans l’Église ( 1 ) . »

Ces hérétiques n’ayant tenu aucun compte de la lettre du pape, celui-ci convoqua un concile général à Sardique en Illyrie, lequel confirma tout ce qu’il avait fait et écrit.

La vie de saint Jules fut conforme aux maximes de cette foi ardente qu’il défendit si victorieusement.

La prière lui fournit les lumières que révèlent ses écrits.

La douceur et l’humilité furent chez lui mêlées à la force que donne le sentiment du devoir, surtout quand ce devoir s’identifie avec les intérêts de l’Église et de la justice.

Il mourut le 12 avril 352.

PRATIQUES. — En luttant contre l’erreur, la papauté a préparé la civilisation. Reconnaissons ses services, et attachons-nous à ce Saint-Siège, qui est la seule règle infaillible de la vérité sur la terre. Or, comme c’est par la vérité que nous avons été délivrés, aimons, vénérons et défendons nos Souverains-Pontifes. ( 2 )

PRIÈRES. — Délivrez-nous, ô mon DIEU, de toutes les tentations contre la foi, et des pièges que les suppôts de Satan tendent à la pureté de nos croyances. Nous vous en supplions par Jésus-Christ, auteur et consommateur de notre foi.

A.I.

( 1 ) Voir Fleury, Hist. ecclés., t. III, liv. XII, nº 20.

( 2 ) : Aimons et défendons notre Pape actuel, Paul VI, le vrai, toujours vivant ( 115 ans ), seul et unique successeur légitime de Saint Pierre, à l’exclusion de tout autre, sans doute retenu prisonnier au Vatican. Depuis 1972, l’Église à Rome est entre les mains de la subversion ( « Rome perdra la foi et deviendra le Siège de l’Antéchrist » a dit Notre Dame à La Salette : lire le message dans ce blog ). La véritable Église, celle des catholiques survivantistes ( qui adhèrent à la croyance de Paul VI toujours vivants ) et celle d’autres courageux défenseurs de la vérité qui y croient aussi, continue toujours, unie à Paul VI. Nous attendons l’Avertissement de DIEU promis à Garabandal qui en éclairera beaucoup. Tous n’accepteront pas.