Sunday, 30 December 2012

LES PSAUMES: PSAUME 1, début du PSAUME 2.

LES PSAUMES, PSAUME 1, début du PSAUME 2.

Saturday, 29 December 2012

Merci, Mon Dieu, de nous avoir donné ces 'armes' pour notre protection.

Merci, mon Dieu, de nous avoir donné ces 'armes' pour notre protection.
Saint Michel Archange, de votre lumière, éclairez-nous ! de vos ailes, protégez-nous ! de votre épée, défendez-nous !

LA MÉDAILLE MIRACULEUSE.

LA MÉDAILLE MIRACULEUSE.
La porter de préférence autour du cou ( pas forcément visible ).

UN CHAPELET.

UN CHAPELET.

LA CROIX DE JÉSUS.

LA CROIX DE JÉSUS ( 8 centimètres au moins ).

COMMENT 'FAIRE' DE L'EAU BÉNITE en l'absence d'un bon prêtre.

COMMENT FAIRE DE L'EAU BÉNITE en l'absence d'un bon prêtre. Message de Marie-Julie Jahenny, la stigmatisée de Blain.

DES MOYENS MIS PAR DIEU À NOTRE PORTÉE POUR NE PAS ÊTRE RAPTÉS PAR LES INTRATERRESTRES.










DES MOYENS MIS PAR DIEU À NOTRE PORTÉE POUR NE PAS ÊTRE RAPTÉS PAR LES INTRATERRESTRES.

Pour ne pas être raptés, toujours avoir sur soi:



1 De l’eau bénite. Si vous n’avez pas un bon prêtre près de vous, faites ceci : dessinez sur une feuille de papier le Cœur de Jésus et la Croix de Jésus ( à l’encre indélébile ). Trempez ce papier dans de l’eau. L’eau sera deux fois bénite. Mettez cette eau dans un flacon. Vous avez de l’eau bénite ( c’est un Message de Marie-Julie Jahenny la stigmatisée de Blain ). J’y crois.

2 La Croix de Jésus ( au moins 8 centimètres ).

3 Un chapelet.

4 La médaille miraculeuse. La porter de préférence autour du cou (pas forcément visible).


Les amis qui lisent mon blog yannickcharbonnelreligion.blogspot.pt savent que je suis un amoureux de la vérité.
Aujourd’hui, je me contente de ce petit post mais plus tard je donnerai plus de détails et déjà j’en ai un peu parlé. 
Ben oui, ça a à voir avec la religion puisque les intraterrestres qui veulent se faire passer pour des extraterrestres invincibles sont des démons, terrorisés à l'idée que nous découvrions leur mensonge puisque il suffit d'un peu d'eau bénite pour les brûler.
Si cela vous intéresse de savoir ce qu'ils font de ceux qu'ils raptent allez voir sur YouTube 'Alien Abduction of the 4th Kind ( Best Evidence ...'
Quand Paul VI sera libéré, nous lui demanderons ce qu'il en pense, et alors nous nous soumettrons à sa parole.
Coeur Sacré et Miséricordieux de Jésus, j'ai confiance en vous.
Coeur Douloureux et Immaculé de Marie, priez pour nous maintenant et à l'heure de notre mort.

Tuesday, 25 December 2012

25 décembre – PRIÈRE AUX SAINTS ANGES DU JOUR.


–25 décembre – PRIÈRE AUX SAINTS ANGES DU JOUR.

       « Saints Anges du jour,

        Saint REESCH, I ( Séraphin ), Ange de la vie,
        Saint JAH, I ( Séraphin ), ‘DIEU dans sa Bonté’,
        Saint NUN, IX ( Ange ), Ange des tout petits,

donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.

Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.

Par Jésus-Christ, notre Seigneur.

Ainsi soit-il »

Sunday, 23 December 2012

23 décembre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


  23 décembre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.

       « Saint Ange du jour, Saint  SÉBASTIM VII ( Principauté ) Ange du cycle de Noël,
      Saint SINAH IX ( Ange ) Ange de la clairvoyance,

donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.

Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.

Par Jésus-Christ, notre Seigneur.

Ainsi soit-il »

23 décembre - SAINT DAGOBERT II, ROI D’AUSTRASIE, MARTYR ( VIIe SIÈCLE ).


23 décembre -
SAINT DAGOBERT II, ROI D’AUSTRASIE, MARTYR ( VIIe SIÈCLE ).
            
            Fils et successeur de saint Sigebert, qui mourut en 636, Dagobert II fit monter avec lui la piété sur le trône.
            Il ne tarda pas à éprouver l’inconstance des choses humaines.
            Détrôné et exilé par un maire du palais, nommé Grimoald, qui le fit passer pour mort, il fit servir ce revers de la fortune à fortifier son âme dans les vertus chrétiennes.
            Rappelé cependant par les seigneurs austrasiens, dès qu’ils surent qu’il vivait encore, il reconquit peu à peu tous ses états, puissamment aidé en cela par saint Wilfrid, évêque d’York, et par sa mère, nommée Himnéhilde.
            Les commencements de son second règne furent très-heureux.
            Ce fut alors qu’il fonda un grand nombre d’abbayes, entre autres celles de Surbourg, de Haslach et de Saint-Sigismond.
            Au milieu des malheurs et des bouleversements de cette époque, agitée par tant de causes, les monastères étaient de puissants moyens de préparer le retour de la civilisation.
            C’étaient des pépinières de missionnaires, des foyers de science et de vertu, des retraites pour les âmes fatiguées du monde.
            Les arts, ignorés ou négligés ailleurs, y étaient cultivés par de nombreux ouvriers qu’inspiraient les grandes et saintes pensées de la religion.
            N’est-ce pas aux monastères que nous devons la conservation de tous les trésors de l’antiquité parvenus jusqu’à nous ?
            C’était donc de la part de saint Dagobert une bonne et chrétienne politique, que de profiter des jours heureux de son règne pour fonder des monastères.
            Mais ces beaux jours ne furent pas de longue durée.
            Le troisième fils de Clovis II, connu sous le nom de Thierry III, voulant s’emparer des états de Dagobert, lui déclara la guerre.
            Les deux rois se mirent en campagne ; mais, avant qu’ils en vinssent aux mains, Dagobert fut victime d’une conspiration formée par Ebroïn, maire du palais à la cour de Thierry ; il fut surpris dans la forêt de Voivre et massacré le 23 décembre 679.
            Sigebert, son fils, qu’il avait eu de son mariage avec une princesse saxonne, nommée Mathilde, éprouva probablement le même sort, car il n’en est plus fait mention dans l’histoire.
            Dagobert fut mis au rang des saints à cause de ses hautes vertus portées jusqu’à la perfection.
            Il fut aussi considéré comme martyr, parce qu’il périt d’une mort injuste et violente, après avoir vécu saintement.
            Les reliques de ce saint roi, d’abord déposées à Rouen, furent ensuite transportées à Stenay, près de la forêt où il fut massacré.

PRATIQUE. — Le chrétien doit accepter avec résignation la vie telle qu’elle est, avec ses épreuves et ses contradictions. Il lui est permis, et souvent c’est pour lui un devoir, de soutenir ses droits injustement attaqués ; mais, dans le malheur, il est toujours noble par sa résignation et sa constance au service de DIEU.
            C’est là peut-être son plus beau triomphe.
            Sommes-nous prêts à supporter ainsi l’infortune, la privation de nos biens, de nos honneurs, de la santé, les persécutions ? La vie sera pour nous bien amère, si nous ne sommes pas dans ces dispositions.

PRIÈRE. — Vous êtes juste, Seigneur ; les malheurs que vous permettez sont ou le châtiment de nos fautes ou un moyen de perfectionner notre vertu. Accordez-nous la grâce, ô mon DIEU, de les accepter avec la plus humble soumission à vos divines et miséricordieuses volontés. Ainsi soit-il.
A.I.

Sunday, 16 December 2012

PSAUME ( CIII, 1 à 5 ).


PSAUME ( CIII, 1 à 5 ).


PSAUME CIII ( Vulg. CII).
De David.

1 Mon âme, bénis Yahweh,
et que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom !
2 Mon âme, bénis Yahweh,
et n’oublie pas ses nombreux bienfaits.
3 C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités,
qui guérit toutes tes maladies ;
4 c’est lui qui rachète ta vie de la fosse,
qui te couronne de bonté et de miséricorde.
5 C’est lui qui comble de biens tes désirs ;
et ta jeunesse se renouvelle, comme celle de l’aigle.

Saturday, 15 December 2012

- 16 décembre – SAINT EUSÈBE, ÉVÊQUE DE VERCEIL ( IVe SIÈCLE )..


-         16 décembre –
-         SAINT EUSÈBE,
-         ÉVÊQUE DE VERCEIL ( IVe SIÈCLE ).
          Sarde d’origine, Eusèbe devint évêque de Verceil, et honora ce siège par ses hautes vertus et son zèle apostolique.
            Il fut le premier évêque d’Occident qui soumit les clercs à la même discipline que les religieux, afin d’en faire des hommes supérieurs aux choses de la terre et entièrement dévoués à leurs fonctions.
            Il vivait lui-même avec eux, leur apprenant à veiller sur le peuple qui lui était confié, et à imiter en même temps les moines du désert, au milieu du monde.
            Il forma ainsi une pépinière de saints prêtres et de saints évêques.
            Cependant, il fut l’objet des persécutions des ariens, alors répandus dans tout l’Occident.
            Il souffrit, de leur part, l’exil et toute espèce de mauvais traitements et d’affronts.
            Le saint pape Libère rendit de lui ce glorieux témoignage, que la constance de sa foi, au milieu de ses épreuves, était pour lui un encouragement et une consolation au milieu des siennes propres.
            Voici quelle fut l’occasion des souffrances de notre saint.
            Sachant qu’Eusèbe était animé de l’esprit de DIEU, le pape Libère l’avait adjoint aux légats qu’il envoya à l’empereur Constance, favorable aux ariens, à l’effet d’obtenir de lui qu’il ne s’opposât pas à la réunion d’un concile pour décider entre saint Athanase et Arius.
            Eusèbe avait obtenu de l’empereur ce que le pape désirait.
            Un concile fut donc convoqué à Milan.
            Eusèbe y fut invité en même temps par Constance et par les légats du Saint-Siège.
            Mais le parti qu’il avait à prendre lui était tracé par sa foi.
            Il se prononça en faveur d’Athanase ; et comme les ariens comptaient quelques partisans parmi les évêques présents, il proposa de ne rien faire avant que ces évêques eussent souscrit la foi de Nicée.
            Cette proposition les irrita contre lui ; ils l’accablèrent d’injures et le firent exiler.
            C’est dans cet exil qu’il eut tant à souffrir de leur part, et qu’à la fin, n’en pouvant plus de coups, de faim et de supplices, il se livra à leur merci.
            Il écrivit à Scythopolis une lettre à son clergé, qui témoigne de son courage et de sa religion.
            Il fut ensuite déporté en Cappadoce, et enfin dans la haute Thébaïde.
            Cependant, Constance mourut et Julien l’Apostat lui succéda.
            Ce dernier permit aux évêques exilés de retourner dans leurs diocèses ; Eusèbe ne voulut pas rentrer dans le sien, avant d’être allé à Alexandrie pour se concerter avec Athanase sur les  moyens de remédier aux maux qui affligeaient l’Église.
            Après avoir raffermi l’Orient dans la foi de Nicée, il traversa l’Illyrie, et arriva dans l’Italie toute joyeuse de le revoir.
            Il occupa le repos qui lui était enfin rendu, à corriger les commentaires d’Origène sur les Psaumes, à traduire en latin ceux d’Eusèbe de Césarée, et à publier les uns et les autres. Notre saint mourut enfin à Verceil, vers l’an 370.

PRATIQUES. — Il est glorieux de souffrir pour la vérité. Les grands hommes ont accepté avec joie les souffrances pour une si noble cause. Mais nous, étudions-nous et aimons-nous la vérité ? Bravons-nous avec courage les mépris et les plaisanteries des méchants, et la pratiquons-nous coûte que coûte ? Sommes-nous fiers de souffrir pour le nom de Jésus-Christ ?
PRIÈRE. — Seigneur, rendez-nous de plus en plus dignes du titre de chrétiens. Faites-nous croître dans la connaissance de vos ineffables perfections et des vérités saintes que vous avez daigné nous révéler. Faites, en un mot, que nous nous glorifions de vous appartenir, et plutôt la mort que de nous séparer de vous !
A.I.

16 décembre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.


–16 décembre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.

       « Saint Ange du jour, Saint GATHA, IX ( Ange ), Ange avec la pelle,

donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.

Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.

Par Jésus-Christ, notre Seigneur.

Ainsi soit-il »

DANIEL VII Commentaires II ( Texte: C. 1923 ).

DANIEL VII Commentaires II  ( C. 1923 ).
( Suite ) Pour le moment lisons des Commentaires sur DANIEL VII, après avoir lu DANIEL VII ( post du 12/10/2012 ), car il y a là quelque chose à découvrir d’important pour les croyants de nos jours, je pense.

VII, 4. La première, un lion, avec des ailes d’aigle,  symbole de force et d’agilité, symbolise le premier empire, la monarchie babylonienne.
Comparez Jér., IV, 7, 13 ; XLIX, 19 sv. ;
Ezéch., XVII, 3 ;
Hab., I, 8 ; etc.
Ces emblèmes correspondent à la tête d’or de la statue du chapitre II, 32.
    — Ses ailes furent arrachées etc. Ces traits se rapportent aux dernières années de l’empire babylonien, affaibli et tombant sous les coups des Médo-Perses ; ce n’est plus le lion vigoureux, ni l’aigle rapide, mais l’homme faible et mortel, incapable de se défendre contre la deuxième bête. Selon d’autres, ces images feraient allusion au châtiment de Nabuchodonosor, lorsque ce roi fut pour un temps réduit à l’état de brute, puis redevint homme, après avoir reconnu la souveraineté du DIEU d’Israël

Sunday, 9 December 2012

Un site de plus que je conseille: http://amdg.over-blog,fr


Un site de plus que je conseille: http://amdg.over-blog,fr

Tiré de ce blog, voici un tout petit extrait de Paul VI, notre Pape, à l'exclusion de tout autre, toujours vivant:

Texte de SS Paul VI, de 1967 : "Poussés par l'amour, résolus à réparer nos offenses faites à la sainteté et à la justice de Dieu, et confiants dans Sa miséricorde infinie, nous devons donc supporter la souffrance de l'esprit et du corps afin d'expier nos péchés et ceux du prochain et d'éviter ainsi la double peine du dam et des sens, c'est-à-dire la perte de Dieu, souverain bien, et le feu éternel." 

Paul VI réaffirme ainsi cet enseignement séculaire sur la double peine de l'enfer,
celle de la privation de Dieu,
et la peine des sens, qui est principalement le feu, dont parle Jésus dans l'Evangile (notamment Matt. 25). (Exhortation Apostolique Signum Magnum, 2° partie § 4).



MESSE ( St Pie V ) IMMACULÉE CONCEPTION ( I )


MESSE ( St Pie V ) IMMACULÉE CONCEPTION ( I )


FÊTE DE L’IMMACULÉE CONCEPTION DE LA TRÈS SAINTE VIERGE MARIE.
Double de Ière cl.  avec Oct. comm. ( Orn. blancs )


« Prédestinée à être la Mère De DIEU, Marie ne pouvait, ne fût-ce que pour un instant, être sous l’empire de satan. En prévision des mérites du Christ, elle fut donc conçue pleine de grâce et sans le péché originel. » ( M.R.C.E.R.)

Introït. Ravie d’allégresse, mon âme se réjouit dans le Seigneur, mon DIEU ; car il m’a revêtue des vêtements du salut, et il m’a couverte du manteau de la justice, comme une épouse parée de ses bijoux.
Ps.  Je vous exalterai, Seigneur, parce que vous m’avez relevée, et que vous n’avez pas réjoui mes ennemis à mon sujet. /V. Gloire au Père.

Intr. ( Is, LXI, 10 ). — Gaudens gaudébo in Dómino, et exsultábit ánima mea in Deo meo : quia índuit me vestiméntis salútis : et induménto justítiæ circúmdedit me, quasi sponsam ornátam monílibus suis.

Ps. XXIX, 2. Exaltábo te, Dómine, quóniam suscepísti me: nec delectásti inimícos meos super me. /V. Glória Patri. GLORIA.

Saturday, 8 December 2012

- 09 décembre – SAINTE LÉOCADIE, VIERGE ET MARTYRE ( IVe SIÈCLE ).


- 09 décembre – SAINTE LÉOCADIE,
VIERGE ET MARTYRE ( IVe SIÈCLE ).

            Née à Tolède, en Espagne, cette sainte souffrit le martyre sous Dioclétien.
            Ce tyran avait des exécuteurs de ses ordres sanguinaires dans toutes les provinces de l’empire.
            Ce fut le gouverneur Dacien, fameux, entre tous les autres, par sa cruauté contre les disciples de Jésus-Christ, qui la fit arrêter.
            Après lui avoir fait subir les tourments les plus horribles, il la fit remettre en prison où elle mourut.
            Le nom de sainte Léocadie est très-célèbre en Espagne. Elle est patronne de Tolède où ses reliques sont conservées et honorées d’un culte spécial.

PRATIQUE. — Tous les chrétiens doivent être dans la disposition de tout abandonner, de tout supporter pour Jésus-Christ. Cela suppose un détachement habituel et la pratique journalière des vertus de l’Évangile. On ne souffre et on ne meurt pour Jésus-Christ que lorsqu’on a acquis l’habitude de vivre de sa vie et de son amour.

PRIÈRE. — Ô Jésus, je vous aime de tout mon cœur et de toutes mes forces. Accordez-moi la grâce de tout souffrir plutôt que de vous offenser.

A.I.

- 09 décembre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.




–09 décembre – PRIÈRE AU SAINT ANGE DU JOUR.

       « Saint Ange du jour, Saint RAGUEL, IX ( Ange ), La piécette de la veuve,

donnez- nous toutes les grâces que nous pouvons implorer pour nous, pour l’Église et les hommes.

Mais demandez aussi aux autres anges qu’ils implorent eux-aussi des grâces particulières pour nous en ce jour qui est celui de votre fête.

Par Jésus-Christ, notre Seigneur.

Ainsi soit-il »

Friday, 7 December 2012

FÊTE DE L'IMMACULÉE CONCEPTION ( Rappel ).

FÊTE DE L'IMMACULÉE CONCEPTION ( Rappel )

Dans ce blog, lire (si vous le voulez, de bon coeur ) le post du 08/01/2011; les 2 posts du 08/12/2010; et celui du 7/12/2010.

La Sainte Vierge a enseigné à la voyante, à Marienfried, le Chapelet de l'Immaculée Conception. Quel meilleur jour pour le réciter?

Comment le réciter?
Ajouter à la fin de la première partie de chaque 'Je vous salue. Marie'
– au 1er mystère: Par votre Immaculée Conception, sauvez notre patrie, 
– au 2ème mystère: Par votre Immaculée Conception, gardez notre patrie,
– au 3ème mystère:  Par votre Immaculée Conception, guidez notre patrie,
– au 4ème mystère: Par votre Immaculée Conception, sanctifiez notre patrie,
– au 5ème mystère: Par votre Immaculée Conception, gouvernez notre patrie.
Exemple (1er mystère joyeux ):
( première partie du 'Je Vous salue, Marie' )
Je Vous salue, Marie, pleine de grâce,
Le seigneur est avec vous,
Vous êtes bénie entre toutes les femmes,
Et Jésus incarné le fruit de vos entrailles est béni.
( Maintenant,  rajout propre au 'Chapelet de l'Immaculée Conception' enseigné à la voyante à Marienfried )
Par votre Immaculée Conception, sauvez notre patrie.
( puis la suite, comme d'habitude )
Sainte Marie, Mère de DIEU et notre mère, priez pour nous pauvres pécheurs maintenant, et à l'heure de notre mort. Ainsi soit-il.

DANIEL VII Commentaires ( I ) ( C. 1923 ).


DANIEL VII Commentaires ( I ) ( C. 1923 ).

Pour le moment lisons des Commentaires sur DANIEL VII, après avoir relu DANIEL VII ( post du 12/10/2012 ), car il y a là quelque chose à découvrir d’important pour les croyants dans leur vie de tous les jours, je pense.

VII, 1. La première année, vers l’an 540 avant Jésus-Christ ; car Baltazar, qui fut tué en 538, n’avait rempli les fonctions de vice-roi que pendant un petit nombre d’années.

2. La grande mer agitée par les quatre vents symbolise le monde païen et ses agitations.

3. Quatre bêtes : comparez Apoc., XIII, I. Lesprophètes représentent souvent les nations sous l’emblême d’animaux réels ou fantastiques : voyez Is., XXVII, I ; LI, 9 ; Ezéch., XXIX, 3 ; XXXII, 2. Comparez Ps. LXVIII, 31 ; LXXVI, 13. ( Vulg. : chiffres différents )

Friday, 30 November 2012

- 30 novembre – SAINT ANDRÉ, APÔTRE ( Ier SIÈCLE ).


- 30 novembre –
SAINT ANDRÉ, APÔTRE ( Ier SIÈCLE ).

            Saint André naquit à Bethsaïde, bourgade de Galilée. Il était frère de Simon Pierre et disciple de Saint Jean Baptiste.
            Ayant un jour entendu ce saint s’écrier, à la vue de Jésus-Christ qui revenait du désert où il avait demeuré quarante jours :
            « Voici l’agneau de DIEU ! », il se mit à la suite de ce divin Maître et y attira son frère avec lui.
            Ils devinrent ainsi les premiers disciples de Jésus-Christ.
            Les premiers aussi ils eurent l’honneur d’être appelés à l’apostolat, de pêcheurs et fils de pêcheurs qu’ils étaient. C’était vers la fin de la même année, Jésus-Christ revenait de la Basse-Galilée, lorsqu’il leur adressa ces paroles :
            « Venez, je ferai de vous des pêcheurs d’homme. »
            Laissant aussitôt leurs filets, dit l’Évangéliste, ils ne quittèrent plus leur Maître, s’attachant à tous ses pas, recueillant toutes ses paroles, et se formant à son école, à la grande mission qu’il allait bientôt leur confier.
            Heureuses les âmes qui savent ainsi se rendre à l’appel de Jésus-Christ, et accepter généreusement la part d’apostolat qui leur est destinée !
            Et quel est le chrétien qui, dans n’importe quelle position, ne puisse et ne doive être apôtre ?
            À la suite du Fils de DIEU, André et Pierre ne pouvaient manquer de devenir les objets de ses faveurs particulières.
            Entre autres bienfaits, nous voyons ce divin Sauveur rendre, à leur prière, la santé à la belle-mère de Pierre, en proie à des fièvres violentes et invétérées.
            Comme ils se trouvaient à la tête du collège apostolique, les Évangélistes nous les représentent s’adressant en toute occasion à leur Maître avec une sainte liberté et une confiance sans bornes.
            Ainsi, lors du miracle de la multiplication des pains, opéré par Notre-seigneur pour nourrir cinq mille personnes qui l’avaient suivi dans le désert, c’est André qui, le voyant ému de compassion pour cette foule affamée et préoccupé des moyens de lui donner des vivres, lui dit qu’il y avait bien là un jeune homme qui avait cinq pains et deux poissons ;
            « mais qu’est-ce que cela, ajouta-t-il avec une foi vive, pour tant de monde ? »
            C’est qu’il savait bien ce que pouvait son divin Maître !
            Ainsi encore, lorsque quelques Gentils, venus de Jérusalem pour voir le Sauveur, demandèrent à Philippe de leur procurer ce bonheur, c’est André qui le leur fit obtenir.
            Dans le partage que les Apôtres se firent du monde, après la descente du Saint-Esprit sur eux, la Scythie échut à André.
            Il ne se contenta pas de faire connaître à cette contrée le nom et la doctrine de Jésus-Christ, il évangélisa aussi la Thrace, le Pont et plusieurs autres pays.
            Les conversions qu’il opéra partout furent innombrables, dit la légende sacrée.
            À Patras, en Achaïe, le succès de sa parole et de ses miracles fut tel, que le proconsul Égée crut devoir sévir contre lui, afin de protéger la cause des dieux, désormais perdue.
            Mais André lui déclara, avec cette liberté qu’inspira depuis à tous les martyrs la conviction de la foi en Jésus-Christ, qu’il valait mieux obéir à DIEU qu’aux hommes, et que d’ailleurs il ne comprenait pas qu’on voulût être reconnu comme le juge des hommes, si l’on ne reconnaissait, avant tout, Jésus-Christ, le Juge souverain des hommes.
            À ces mots, Égée répondit avec l’accent de la colère :
            « Cesse de nous vanter un Jésus-Christ. Tu sais bien que tout ce qu’il a pu dire de sa personne n’a pas empêché qu’il ne fût crucifié par les Juifs. »
            Et comme André profitait de cette occasion pour enseigner « que si Jésus-Christ avait été crucifié, c’est qu’il l’avait bien voulu pour le salut du genre humain : »
   « Je t’engage, lui dit Égée, à mieux comprendre tes intérêts et à sacrifier aux dieux. »
  « Chaque jour, répondit André, j’immole au DIEU tout-puissant, unique et vrai DIEU, non le sang des boucs ni la chair des taureaux, mais l’Agneau sans tache , dont la chair est donnée en nourriture à l’assemblée des croyants, sans que pour cela l’Agneau cesse d’être vivant et entier. »

            Aussitôt André, par ordre d’Égée, est jeté en prison.
           Le peuple veut le délivrer, mais il l’apaise lui-même et le supplie de ne pas le priver de la couronne du martyre, qui fait l’objet de tous ses vœux.
            Quelques jours après, il est ramené devant le tribunal d’Égée.
            Là, comme ailleurs, il proclame le mystère de la croix.
            « Eh bien, dit Égée, tu seras crucifié comme Jésus-Christ. »
            On le mène au lieu de son martyre.
            À peine aperçoit-il la croix où il va être cloué :
            « O bonne, ô précieuse croix ! s’écrie-t-il, salut à vous, que le contact du corps de Jésus-Christ a consacrée et glorifiée ; à vous que j’ai si longtemps désirée, si ardemment aimée, si constamment recherchée, et qui vous présentez enfin à mes vœux !!! ... Recevez-moi dans vos bras et rendez-moi à mon Maître, de sorte que par vous je sois réuni à Celui qui par vous m’a racheté. »

            André fut, en effet, crucifié. Il vécut, chose étrange ! deux jours entiers sur la croix, ne cessant de prêcher la foi en Jésus-Christ.
            Il expira enfin et alla rejoindre Celui de la mort de qui il avait désiré mourir.
            Les prêtres et les diacres de l’Achaïe, témoins de ces faits, les écrivirent comme nous venons de les rapporter.
            Ses restes furent transportés de Patras à Constantinople, sous Constantin le Grand, et plus tard à Amalphis.
            Sa tête fut apportée à Rome, sous le pontificat de Pie II, et placée dans la Basilique de Saint-Pierre.

PRATIQUES. — Suivre la volonté de DIEU, qui nous appelle à telle ou telle vocation, écoutant en cela l’avis de ceux qui le représentent. Faire connaître Jésus-Christ à ceux qui l’ignorent, et le confesser devant ses ennemis. Aimer la croix et ses souffrances.

PRIÈRE. — Daignez, ô mon DIEU, nous faire participer à l’esprit de vos Apôtres, et donnez-nous, par l’intercession de saint André, le désir de connaître votre volonté et la force de l’accomplir.

A.I.